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 En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]

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Aoi Shigure




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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeLun 21 Juil - 17:16

<< Aoi .. >> 

<< J - Je .. vais prendre un bain .. >>


Totalement ailleurs en ayant à peine enregistré l'information que nous avait donné les parents, je sursautai assez violemment en sentant quelque chose m'aggripper le poignet. Je me tournai vers Len en étant rouge de gêne, ayant vraiment du mal. Je ne voulais pas encore sauter sur Len et l'épuiser au possible. J'en avais marre de toujours l'épuiser ainsi à chaque fois qu'on le faisait. Mais j'étais beaucoup trop envieux en même temps.


<< Tu ne peux pas partir maintenant .. >> 



<< M - Mais .. I - Ils .. >>



.. Sont encore là ? Vu sa façon d'agir, non. Je prolongeai tant bien que mal le baiser, gémissant de plaisir en sentant ses dents et sa langue s'occuper de mes zones sensibles. Je fermai les yeux d'un air gêné, me mordant la lèvre inférieure :


<< A - A - Attends ... O - On att - attends le Love Hôtel .. >>


Je mourrais d'envie de le faire bien sûr. Ce que j'aurais pu donner pour le faire, mais en même temps, je ne voulais pas le faire maintenant. Mes sens me criaient de sortir. D'être dans un lieu plus sûr que la maison où les parents pouvaient revenir d'un moment à l'autre. Et s'ils avaient oublié quelque - chose ? Ou vérifiaient ce qu'on faisait ? Je repoussai tant bien que mal Len, les mains tremblantes. Reprenant en vitesse mes vêtements de rechange une fois relevé, je repris tant bien que mal ma respiration :


<< P - Pas m - maintenant .. j - je s - suis pas à - à - à l'aise ici .. >>
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Len Shigure

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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMar 22 Juil - 13:23

<< A - A - Attends ... O - On att - attends le Love Hôtel .. >>


<< On peut bien le faire au moins une fois avant .. >>



Continuant de s'occuper des zones sensibles d'Aoi, Len ne se doutait pas qu'Aoi se sentait mal. Et puis, pourquoi le serait - il ? Les parents étaient partis, ils étaient seuls. Ils avaient la maison rien que pour eux. Oui les parents pourraient revenir, mais il suffisait d'être un peu plus discret et cela passerait sans problème. Il n' y avait aucune inquiétude a avoir ! 
Repoussé par Aoi, Len détourna le regard avec un air blessé. Il savait qu'il ne pouvait pas forcé Aoi s'il ne voulait pas le faire.



<< P - Pas m - maintenant .. j - je s - suis pas à - à - à l'aise ici .. >>


Len laissa Aoi commencer a sortir de la chambre avant de l'enlacer par derrière en le rattrapant, chuchotant à son oreille avec une voix sensuelle.



<< Tu as dix minutes pour te laver et t'habiller. Après on sort. Passé ce délais, si tu n'es pas prêt, je viens te chercher. >>


Relâchant Aoi, Len alla dans sa chambre pour se changer et se concentrait sur autre chose pour se calmer un peu. Il fallait bien qu'il soit un tant soit peu calmé pour sortir.

Où voulait - il emmener Aoi ? Au Love Hôtel.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMar 22 Juil - 14:02

<< P - Pas m - maintenant .. j - je s - suis pas à - à - à l'aise ici .. >>


Sursautant en le sentant m'enlacer, je virai assez vite au rouge en le regardant avec une moue extrêmement gênée. Frissonnant en entendant sa voix :


<< Tu as dix minutes pour te laver et t'habiller. Après on sort. Passé ce délais, si tu n'es pas prêt, je viens te chercher. >>


Le dévisageant de surprise, je commençai à bégayer des mots incompréhensibles. Je n'allais jamais avoir le temps moi ! Allant lentement dans la salle de bain pour prendre une douche, je finis au bout de quelques minutes, m'étant légèrement calmé malgré mon excitation qui montait. Après ces dix minutes, j'étais malheureusement pour moi toujours entrain de m'habiller. Portant un pull léger mais en même temps confortable, tombant sur mes épaules sans que je ne puisse faire grand chose avec. Il était assez large après tout. Mettant ensuite un jean, je sortis lentement de la salle de bain en ayant mes oreilles de chat légèrement baissées à cause de la gêne :



<< S - Satisfait ? >>


Détournant le regard, je mis mes baskets et remontait mon pull tant bien que mal. Je ressemblais à une fille mh .. Même si ma voix avait légèrement muée. Ca ne changeait jamais. Je regardai longuement ma chevelure qui redevenait petit à petit châtain, m'accrochant à Len. Je l'attirai lentement pour pouvoir l'embrasser, y plongeant très lentement ma langue. Je passai lentement ma main dans ses cheveux et attrapai mon portable pour le mettre dans ma poche :


<< O - On va au .. ? >>


Le regardant dans les yeux pur avoir une réponse, je le pris ensuite par la main en me mordant la lèvre inférieure d'un air pensif, me demandant ce qu'il allait me faire.


<< M - M - Mais ils vont voir qu - qu'on est deux garçons non .. ? >>
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMer 27 Aoû - 14:00

Laissant Aoi partir prendre sa douche, Len en profita pour aller boire un verre d’eau et se rafraichir le visage histoire de calmer un peu son excitation qui montait. Se préparant à sortir, Len finit rapidement, ayant seulement eu besoin de mettre un veston par-dessus sa chemise. Il alla attendre Aoi en se mettant sur le canapé, réfléchissant bien à ce qu’il pouvait lui faire … Pour une fois, il n’avait pas d’idée. Tout ce qu’il voulait, c’était le faire avec lui. Il était beaucoup trop en manque pour rester plus longtemps sans l’avoir fait. Surtout que, contrairement à Aoi, il ne se faisait pas plaisir de lui-même. Il avait été trop traumatisé avec ça quand Aoi l’avait découvert contre son gré, il n’avait pas envie de retenter l’expérience.
Entendant Aoi revenir, Len se releva et lui sourit tranquillement, avant de sourire un peu plus en voyant sa moue gênée. Aoi était vraiment trop adorable. Il pouvait faire n’importe quelle moue, Len le trouvait toujours et encore adorable. C’était son petit frère, donc, forcément, Len le trouvait absolument craquant. Rien ne le ferait détester son cher et tendre Aoi.

<< S - Satisfait ? >>


<< Oui ! >>

Faisant un grand sourire innocent, Len mit ses chaussures avant de se tourner vers Aoi en le voyant s’accrocher à lui, lui souriant avant de se baisser pour pouvoir embrasser Aoi, faisant jouer sa langue avec la sienne en caressant doucement sa joue pour ensuite le stopper afin de reprendre son souffle, ayant toujours un air tendre et amoureux en regardant Aoi.

<< O - On va au .. ? >>

<< Exact. >>

Serrant calmement la main d’Aoi dans la sienne, Len haussa un sourcil en le voyant devenir si pensif sur le moment.

<< M - M - Mais ils vont voir qu - qu'on est deux garçons non .. ? >>

<< On s’en fiche. De toute façon, si tu ne dis rien, tu peux passer pour une fille. Donc, au pire, ils pourront se douter que tu puisses être un garçon mais c’est tout. >>

Sortant tranquillement de la maison, Len entama le chemin en direction du Love Hôtel tout en serrant la main d’Aoi dans la sienne, se demandant bien ce qui allait les attendre.  
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMer 27 Aoû - 14:39

<< O - On va au .. ? >>

<< Exact. >>



.. Et il disait ça sans gêne. Rougissant un peu plus tout en tenant sa main, je fis disparaître mes oreilles de chat puis réfléchis longuement à la situation dans laquelle on allait se retrouver. Aaah. Ca allait être gênant tout de même d'aller dans un Love Hôtel. J'espérais juste qu'on ait une chambre normale. 



<< M - M - Mais ils vont voir qu - qu'on est deux garçons non .. ? >>

<< On s’en fiche. De toute façon, si tu ne dis rien, tu peux passer pour une fille. Donc, au pire, ils pourront se douter que tu puisses être un garçon mais c’est tout. >>



Hochant faiblement la tête, je partis donc avec Len jusqu'au Love Hôtel en détournant le regard d'un air gêné en y entrant. Aaah. Je n'aimais pas vraiment cette ambiance. C'était gênant. Laissant donc Len demander une chambre, je rougis un peu plus en entendant la personne parler :



- Aah. Malheureusement il nous reste qu'une seule chambre. Ca vous va toujours ? 


Attendant patiemment, je le laissai donc payer et entrai lentement dans notre chambre dédiée, rougissant violemment en voyant l'ambiance. P - Pourquoi il y avait une cage ici ?! Et c'était quoi ça ? Et pourquoi l'ambiance était sombre ? Regardant d'un air plus que gêné Len, je l'interrogeai du regard, voyant ensuite une sorte de petit réfrigérateur, je partis l'ouvrir et haussai un sourcil en voyant plusieurs bouteilles d'alcool plus ou moins forts. Je regardai les verres posés dessus, ouvrant ensuite le placard pour rougir d'autant plus. Des .. cosplays de maid, d'écolière, de tous les fantasmes possibles. Je reculai lentement pour toutes les regarder et prit lentement l'un des costumes, lui montrant celui d'une écolière :


<< Tu .. veux que je le porte ? OniiChan ? >>


Je le regardai d'un air légèrement hésitant, finissant par aller dans la salle de bain qui .. était un peu beaucoup invisible. Je continuai donc de visiter un peu cette chambre, me déshabillant pur m'habiller en écolière tout en étant mort de gêne. Je laissai mes oreilles de chat apparaître, tirant lentement sur le bas de la jupe :


<< L - L - Len .. >>


Je m'approchai lentement de lui pour l'embrasser, réclamant des baisers, encore et encore. J'essayais d'oublier l'alcool, ayant peur de sa réaction si j'en buvais encore. Je ne voulais pas qu'il s'énerve encore une fois. 


<< On a combien de temps .. ? >> 
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMer 27 Aoû - 15:14

- Aah. Malheureusement il nous reste qu'une seule chambre. Ca vous va toujours ?


<< Oui, pas de problème. >>

Payant donc, Len reprit Aoi par la main pour l’emmener jusqu’à la chambre, ayant un peu peur en se demandant bien sur quoi ils allaient tomber. Il n’avait rien demander à l’accueil pour ne pas que l’on se moque de lui s’il prenait sa moue gêné en apprenant le thème qu’ils auraient pu avoir et qu’il aurait trouvé gênant.
Entrant donc dans la chambre, Len prit sa moue gênée en voyant la cage dans un coin de la chambre avec une ambiance aussi sombre. Il entra donc un peu timidement tandis qu’Aoi explorait la chambre, haussant un sourcil en voyant l’alcool au moment où Aoi ouvrit le mini – frigo. Len pouvait bien laisser Aoi boire vu le contexte du moment, il ne voulait juste pas qu’il se mette à boire une fois seul et sans personne qui puisse venir le voir et lui dire d’arrêter.

<< Tu .. veux que je le porte ? OniiChan ? >>

<< Mmh ? >>

Tournant le regard vers Aoi, Len laissa ses oreilles de chat apparaitre sous le coup de la surprise. Il avait beau dire sans cesse qu’il aimait Aoi en garçon, plus qu’en fille, voire Aoi travestit ne le gênait pas, et l’idée arrivait même à l’exciter, surtout dans ce moment-là.
Finissant par finir de faire le tour de la chambre du regard, Len reporta son attention sur Aoi, rougissant encore plus quand il le vit revenir en écolière avec sa moue gênée incroyablement craquante.

<< L - L - Len .. >>

Embrassant Aoi, Len le poussa rapidement jusqu’au lit où il le surplomba, l’embrassant toujours et encore avant de lui sourire tranquillement en caressant tendrement sa joue.

<< On a combien de temps .. ? >>


<< Jusqu’à tard ce soir … >>

Se remettant à embrasser Aoi, Len mordilla rapidement sa lèvre inférieure pour y mettre la langue, passant la main dans ses cheveux avant de commencer à passer sa main sous le haut de l’uniforme pour caresser doucement le torse d’Aoi, atteignant rapidement ses tétons qu’ils commença à titiller avec sa main pour l’exciter avant de rompre le baiser pour venir mordiller le lobe de son oreille.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMer 27 Aoû - 20:51

<< On a combien de temps .. ? >> 

<< Jusqu’à tard ce soir … >> 


Hochant faiblement la tête et prolongeant donc le baiser, j'ouvris la bouche pour laisser sa langue glisser entre mes lèvres et caresser la mienne. Frissonnant en sentant sa main passer bien lentement sous mon haut. Je poussai un faible gémissement de plaisir, serrant lentement les jambes avant de pousser u nouveau gémissement, je passai lentement ma main dans ses cheveux en poussant des gémissements un peu plus aigus, étant réellement excité par lefait que c'était une nouvelle sensation comparé au plaisir seul. Je continuai de gémir et serrai un peu plus mes mains dans ses cheveux en me mordant la lèvre inférieure. 

<< O - O - OniiCh - Chan .. A - Attends .. >>

Je poussai un nouveau gémissement, me trouvant vraiment trop sensible sur le coup. Je regardai d'un air totalement soumis Len, les yeux voilés de désir, d'envie. Je l'embrassai lentement, ayant une moue assez .. féminine sur le coup. Les joues rouges, les yeux brillant et risquant bientôt d'y laisser quelques larmes de plaisir. J'étais réellement sensible. Jetant un coup d'oeil autour, je restai ailleurs en voyant une boîte avec plusieurs jouets, des vibromasseurs, des godes, il y avait vraiment de tout. Je passai timidement ma main sur son torse et retirai lentement son haut, étant tout d'abord assez soumis. Mais je sentais que j'allais bientôt recommencer à le mordre ou à faire ce genre de choses une fois dans cette humeur. Je miaulai faiblement et griffai légèrement le torse de Len, l'embrassant une nouvelle fois :

<< Nee .. Tu voudrais me voir en quoi la prochaine fois ? >>

Ma peau blanche comme si j'avais toujours été pur, je regardai d'un air tendre, désireux de plus Len. Mes mèches regagnaient leur couleur d'origines bien vite. Je l'attirai un peu plus à moi pour l'embrasser, mes mains continuant de caresser son torse avant de lentement descendre pour atteindre son membre. Je le regardai longuement, échangeant de place pour m'asseoir sur son torse et me tourner vers son membre. Etant dos à lui, je caressai un peu plus son membre, ayant envie d'aller bien vite beaucoup plus loin. Je comptais commencer le plus vite possible. Débouclant lentement sa ceinture pour caresser avec appui son membre, je me plaçai à quatre pattes, ne faisant même pas attention au fait que mon membre était plutôt proche de son visage. Je voulais lui donner du plaisir après tout. Et puis, disons que le fait qu'il ait déjà commencé à m'exciter auparavant avait commencé à me faire durcir. Et pas qu'un peu après tout. Je masturbai la verge de mon frère par des mouvements lents au début, retirant ensuite le boxer pour en lécher l'extrémité.



<< .. Tu vas utiliser des jouets sur moi après .. ? >>


Ayant besoin de me rassurer mentalement, je le regardai avec une moue craquante, me demandant à quel point il allait pouvoir être sadique. Après tout, on était dans une chambre avec une ambiance masochiste / sadique donc je me demandais bien s'il allait se mettre dans cette humeur.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMer 27 Aoû - 21:34

<< O - O - OniiCh - Chan .. A - Attends .. >>

Relevant le regard vers Aoi, Len ne fut que plus excité par le regard désireux et envieux de son frère. Aoi ne se rendait vraiment pas compte qu’il était incroyablement craquant et excitant dans ces moments – là. Non loin d’être gêné par la moue féminine d’Aoi, Len aimait le côté androgyne d’Aoi, alors ses moues ou ses tics plus ou moins féminin ne le dérangeait pas, c’était une des parties pour lesquels il aimait Aoi.
Le laissant retirer son haut, Len frissonna en sentant les mains de son frère sur lui avant de frissonner un peu plus en le sentant le griffer un peu.

<< .. Tu vas utiliser des jouets sur moi après .. ? >>

<< J-Je sais pas … >>

Prolongeant le baiser donné par Aoi, Len haussa un sourcil en sentant les places se faire échangés avant de finalement rougir en voyant Aoi le dominer. Il le laissa faire ce qu’il voulait finissant par rougir un peu plus en plaquant une main sur sa bouche pour se faire taire en sentant la main d’Aoi sur son membre. C’était trop bon. La sensation lui avait vraiment manquée. Durcissant bien vite, Len fut content qu’Aoi ait l’idée de déboucler la ceinture de son jean, ainsi, il n’allait pas se sentir à l’étroit s’il comptait continuer dans cette voie – là.
Fermant les yeux quand Aoi se mit à quatre patte sur lui, Len garda la main sur sa bouche pour faire taire ses gémissements de plaisir venant du fait qu’Aoi l’excitait de plus en plus. Malgré son jeune âge, Aoi était plutôt doué pour donner du plaisir, au grand bonheur de Len. A moins que simplement le fait de savoir qu’Aoi le touchait suffisait à Len pour atteindre le plaisir au maximum de ses sensations.

<< .. Tu vas utiliser des jouets sur moi après .. ? >>

<< J-J-Je s-s-sais p-p-pas … >>

Le plaisir était trop présent pour que Len puisse prononcer correctement une phrase sans bafouiller sur un seul mot. Il finit par ouvrir peu à peu les yeux, durcissant un peu plus en voyant la moue parfaitement attirante d’Aoi.

<< A-Aoi … C-Continue … >>
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeDim 7 Sep - 13:25

<< .. Tu vas utiliser des jouets sur moi après .. ? >>

<< 
J-J-Je s-s-sais p-p-pas … >> 


Souriant faiblement, je léchai un peu plus son membre, haussant un sourcil en sentant son membre durcir un peu plus dans ma main. Aah. Ca faisait longtemps qu'on ne l'avait pas fait après tout. Je le regardai longuement, me posant quelques questions sur les sensations qu'il devait avoir. Il avait l'air de prendre énormément de plaisir, ce qui était normal en un sens. Mais bon, ça rendait un peu curieux.

<< A-Aoi … C-Continue … >>

Hochant calmement la tête, je regardai une nouvelle fois son membre en rougissant, toujours habillé dans mon uniforme d'écolière. Léchant lentement son membre en fermant les yeux, je commençai à le masturber de haut en bas avec un peu plus de lenteur, voulant qu'il prenne plaisir le plus longtemps possible. Prenant très lentement la chose en bouche, je donnai un coup de langue à son extrémité tout en attendant qu'il soit bien dur. Faisant finalement des va et viens avec ma bouche, j'étais concentré on pouvait le dire. Je ne voulais pas lui faire mal non plus, et puis, bon, c'était toujours spécial de le faire. Le laissant jouir dans ma bouche en avalant le liquide blanc, je toussai faiblement en me retirant, commençant à devenir dur par l'excitation qui montait en moi. Aah. J'avais tellement envie de le faire, maintenant. Mais il fallait que Len durcisse de nouveau non ? Me levant du lit pour regarder la boîte de jouet qu'il y avait, j'haussai un sourcil en voyant un gode, le trouvant .. vraiment gros. Il n'allait pas le mettre en moi n'est – ce pas ? Continuant de fouiller les jouets, je pus donc voir le nombre assez conséquent de gode, vibromasseur et j'en passe. J'étais même tombé sur un fouet .. allant ensuite vers le mini – réfrigirateur pour me baisser et prendre une bouteille d'alcool, je regardai d'un air hésitant Len pour savoir s'il était d'accord. Quand j'eus son autorisation, j'ouvris lentement la bouteille et pris une gorgée du liquide, rougissant légèrement. Aah. C'était fort. Revenant vers Len pour m'asseoir face à lui, je fis une moue gênée, étant tout de même assez proche de lui :


<< Leen .. je te veux .. >>


Continuant de le regarder d'un air gêné, je finis par lentement l'embrasser, partageant le goût de l'alcool avec Len. Entremêlant mes doigts aux siens, je fermai lentement les yeux, l'entrainant lentement avec moi. M'allongeant sur le lit, je regardai d'un air amoureux mon frère, écartant lentement les jambes pour le laisser s'installer. Je le voulais tellement, ça faisait trop longtemps que je le voulais.


<< L – Len .. >>


Gémissant faiblement son nom d'un air envieux et impatient, je fermai les yeux de gêne, finissant par laisser l'une de mes mains caresser le torse du garçon. Je rouvris lentement mes yeux bleutés, ceux – ci brillant légèrement par l'envie. Je laissai mes oreilles de chat se baisser comme pour supplier Len, laissant ma main aller sur son membre pour l'effleurer.



<< Nee .. Comment tu as su que tu m'aimais ? Tu .. as pensé à ce genre de chose ? >>
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeDim 7 Sep - 14:09

<< A-Aoi … C-Continue … >>

Len regarda Aoi acceptait sa demande, finissant par se remettre à fermer ses yeux en sentant les actions de son frère sur son membre, c’était trop bon. De plus en plus excité, Len laissa malgré lui des gémissements se faire entendre, laissant ses oreilles de chat se baissaient sous le coup du plaisir que lui faisait ressentir Aoi. Cela faisait vraiment longtemps qu’il n’avait rien, la sensation lui avait manqué. Et il se demandait bien comment il avait pu résister jusqu’à maintenant.
Jouissant rapidement en laissant un miaulement de plaisir assez prononcé se faire entendre, Len garda les yeux fermés le temps de reprendre sa respiration, laissant Aoi fouiller dans les boites pour voir ce qu’ils avaient à leur disposition. Les rouvrant peu après, se relevant légèrement de sur le lit pour poser son regard océan sur Aoi, hochant la tête pour qu’il puisse boire avant de le regarder droit dans les yeux quand il vint vers lui.

<< Leen .. je te veux .. >>

Souriant, Len prolongea le baiser en serrant la main d’Aoi dans la sienne, allant rapidement le surplomber en se plaçant sur lui, se mettant entre ses jambes, passant doucement sa main sous le haut d’Aoi pour caresser tendrement son torse, titillant gentiment ses tétons.

<< L – Len .. >>

Souriant en entendant Aoi gémir son prénom, Len en fut d’autant plus excité. Il frissonna au contact des mains de son frère sur lui, finissant par tordre un peu ses tétons avant de légèrement gémir en le sentant effleurer son membre. Il avait déjà commencé à durcir simplement en voyant la moue d’Aoi qui mourrait d’envie de continuer.

<< Nee .. Comment tu as su que tu m'aimais ? Tu .. as pensé à ce genre de chose ? >>

<< Je pouvais plus me passer de toi … Et je craquais toujours quand tu me faisais une moue mignonne … Mais je n’ai jamais pensé à ce genre de chose … >>

Se rapprochant d’Aoi, Len l’embrassa tendrement, mordillant sa lèvre inférieure pour pouvoir y glisser sa langue, jouant rapidement avec celle de son frère avant de stopper le baiser pour reprendre son souffle, finissant rapidement par mordiller le lobe d’oreille de son frère avant de lécher son cou.
Posant son regard sur la moue d’Aoi, Len durcit un peu plus en voyant son air prit de plaisir, finissant par lui retirer le bas qu’il portait. Il fit lécher à Aoi deux de ses doigts avant de venir les mettre en lui, intimant des mouvements de ciseaux pour le préparer un minimum. Il avait peut – être l’habitude à force mais Len préférait tout de même le faire. Une fois qu’il estima Aoi être assez prêt, il retira ses doigts, venant se mettre en lui d’abord légèrement avant de finalement s’enfoncer entièrement. Gardant la main d’Aoi dans la sienne, Len commença à faire des vas – et – vient, miaulant de plaisir tout en faisant en sorte de toucher l’endroit si particulier qui ferait ressentir un plaisir plus qu’intense à son frère.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMar 9 Sep - 18:18

<< L – Len .. >>


Gardant mes mains sur son torse en commençant à avoir les joues de plus en plus rouge, le désirant plus que tout. J'avais tellement voulu qu'il me retouche, qu'il revienne après tout. Fermant les yeux en poussant des gémissements de plaisir, je me cambrai légèrement en le sentant me tordre les tétons, étant réellement sensible sans en savoir la raison. Mon souffle devenant bien vite haletant.


<< Nee .. Comment tu as su que tu m'aimais ? Tu .. as pensé à ce genre de chose ? >>

<< Je pouvais plus me passer de toi … Et je craquais toujours quand tu me faisais une moue mignonne … Mais je n’ai jamais pensé à ce genre de chose … >>



Souriant faiblement, je prolongeai longuement le baiser en m'accrochant à lui, lui griffant un peu le dos sans vraiment y faire attention. Gémissant de nouveau quand il commença à jouer avec mes parties sensibles, laissant ma vue se voiler de plaisir, je ne pouvais plus penser à autre chose. Je le voulais. Je le voulais. Je le voulais tellement. Ouvrant la bouche pour suçoter deux de ses doigts, je me laissai fondre de plaisir face à tout ce que je pouvais ressentir désormais. M'accrochant toujours à mon frère en laissant des marques de griffures se marquer petit à petit sur sa peau, je ne pouvais juste pas penser à ça maintenant. Poussant un faible gémissement de frustration quand il retira ses doigts, je me cambrai de plaisir en sentant finalement son membre venir en moi, ouvrant la bouche en commençant à pousser des gémissements de plus en plus fort. Aah. Encore heureux que c'était insonorisé, pas comme chez nous. Laissant mes crocs se montrer tout en gémissement, je lâchai lentement la main de Len pour le coller à moi, entourant mes bras autour de son cou. L'embrassant tout d'abord passionnément, je baissai lentement mon visage en étant de plus en plus submergé de plaisir, laissant quelques larmes couler. Aah. C'était trop bon. Finissant par le mordre à l'épaule, je finis par jouir en le mordant un peu plus fort, reprenant avec difficulté mon souffle. Me relevant lentement pour prendre deux gorgées d'alcool en commençant déjà à me saouler, je souris faiblement, recommençant à avoir une envie de le dominer. Surplombant lentement Len en l'asseyant, je me mis à califourchon sur lui et commençai lentement à le masturber. Me collant à son torse en l'embrassant longuement d'un air malgré tout encore soumis, n'étant pas totalement saoul. Les yeux voilés de plaisir, je voulais recommencer. 

Attendant qu'il soit assez dur, je commençai lentement à m'asseoir sur sa verge, griffant bien vite le torse de mon frère. Je me collai un peu plus en gémissant à son oreille, mordant son torse en commençant à devenir beaucoup plus sauvage à cause du degré d'alcool qui augmentait en moi. Je fis les va et viens en le retirant de moi avant de le remettre en un coup profond, mes faisant gémir de plus belle. Embrassant avec difficulté le blond en passant ma main dans ses cheveux, je tirai légèrement quelques mèches en finissant par jouir en un râlement aigu de plaisir, le prénom de Len étant sorti de mes lèvres. J'attrapai ensuite la bouteille pour recommencer à boire. J'arrivais à la moitié désormais. Je savais que quand j'arrivais à la fin, il fallait que je fasse réellement attention. Je ne supportais pas l'alcool du tout, surtout celui - ci qui était réellement fort. J'espérais juste que Len allait m'imposer une limite. 
Regardant la boîte de jouet en espérant pouvoir reprendre mon souffle, je me baissai lentement pour ramasser deux - trois choses, prenant lentement quelque - chose. Je regardai Len d'un air silencieux puis le surplombai bien vite, lui prenant les poignets pour attacher ses mains, ayant soudainement une idée. Je pris une tenue du placard, habillant donc Len en maid avant de taper des mains d'un air enfantin. Je tirai Len pour le forcer à bouger, l'entrainant jusqu'à la cage. J'amenai la boîte avec moi en cas de besoin, prévoyant donc quelques petites .. choses. Toujours en écolière, je mis Len dos contre les barres, lui soulevant les bras pour ensuite les attacher à l'une d'elles. Je lui écartai lentement les jambes avant de regarder ses bourses, les prenant lentement en me demandant ce qu'il pouvait ressentir. Je fis lécher deux doigts à Len, caressant donc lentement son entrée en ayant les joues rouges. Je l'embrassai fougueusement, pénétrant violemment mes doigts en lui en faisant des mouvements de va et viens en lui en évitant bien sûr de lui faire "trop" mal. 
M'arrêtant en le sentant prêt, je réfléchis longuement en regardant la boîte, sortant calmement un gode en le regardant de haut en bas. Je pris ensuite une sorte de boule qui était attachée à un ruban, baillonnant donc Len pour qu'il ne parle plus. Je pris ensuite de quoi boucher l'extrémité du membre de mon frère, l'empêchant de jouir en finissant par pénétrer avec lenteur le gode après l'avoir correctement humidifié. Je ne savais même pas si je l'avais assez préparé. Je ne m'y connaissais pas du tout donc il se pouvait que je l'avais très bien fait comme de façon superficielle :


<< OniiChan .. Si t'es gentil, je retire la boule ! >>


Je lui sourit calmement, enfonçant un peu plus violemment l'objet en lui, je finis par enclencher le mode vibreur, me mettant sur lui pour recommencer à le chevaucher, me faisant toujours autant plaisir. Jouissant bien vite tout en criant le nom de Len bien des fois, je le mordis jusqu'au sang au moment de l'orgasme, laissant mes crocs s'aiguiser un peu plus alors que mes gémissements ressemblaient de plus en plus à ceux d'un chat.


<< Len .. Len .. Len .. >>
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMar 28 Oct - 18:37

<< Nee .. Comment tu as su que tu m'aimais ? Tu .. as pensé à ce genre de chose ? >>

<< Je pouvais plus me passer de toi … Et je craquais toujours quand tu me faisais une moue mignonne … Mais je n’ai jamais pensé à ce genre de chose … >>

S’occupant des parties sensible d’Aoi, Len finit par le préparer un tant soit peu, de plus en plus excité par ses gémissements de plus en plus osés et présent. Retirant finalement ses doigts en estimant qu’Aoi était assez préparé, Len ignora les griffures que lui faisait son frère dans l’action, s’enfonçant entièrement en lui en un miaulement de plaisir. Le fait de se sentir en Aoi lui avait terriblement manqué. Intimant des mouvements de vas – et – vient Len se colla volontiers contre son petit – frère chéri, n’étant que plus excité de se sentir encore plus proche de lui, laissant un miaulement de plaisir plus prononcé lui échappait quand il sentit la morsure. Atteignant le plaisir absolu, Len se retira lentement en s’allongeant aux côté d’Aoi, fermant les yeux en tentant de reprendre son souffle, les rouvrant finalement faiblement en sentant Aoi le surplombait. Se remettant bien vite à gémir, il entreprit de plaquer une main sur sa bouche pour se taire en sentant son frère le masturber.
Durcissant assez vite puisque le plaisir était toujours autant présent en lui, Len frissonna en sentant les griffures, nullement dérangé qu’Aoi ne lui laisse de quelconque marque. D’autant plus excité par les gémissements prononcés au creux de son oreille, Len se fit totalement soumis à Aoi, finissant par jouir bien vite une fois chevauché par son frère.
Devenant totalement soumis, Len avait le regard brumeux de plaisir, les joues rouges, ses oreilles de chat entièrement baissées sur ses cheveux. Une moue plus que soumise se montrant, il posa son regard sur Aoi, demandant silencieusement à se faire dominer, voir torturé puisque souffrir ne le gênait pas tant que ça vu ses légères tendances masochistes révélaient la dernière fois qu’il l’avait fait avec Aoi quand il avait été soule des suites de la soirée anniversaire de Kyoteru. Se laissant attaché, Len prit une moue gênée en se voyant travestit en Maid, obéissant docilement à Aoi quand il le détacha pour l’emmener ailleurs. Frissonnant en sentant son entrée se faire caresser, il prolongea tant bien que mal le baiser, finissant par gémir bien vite le prénom de son frère en se sentant pénétrer assez sauvagement, ne faisant qu’augmenter son plaisir.

<< A-Aoi … A-Aoi … >>

Gémissant de frustration en sentant les vas – et – vient se stopper, Len miaula d’un air soumis et plaintif pour attirer l’attention Aoi, voulant qu’il continue. Prenant un air plaintif en se voyant bâillonner, Len laissa un faible miaulement de plainte étouffé se faire entendre pour ensuite refaire le même miaulement en voyant qu’il ne pourrait pas jouir au moment voulu. Il se cambra malgré tout de plaisir en sentant le gode en lui, grimaçant faiblement en sentant qu’il n’était pas totalement lubrifié, mais loin de le gêné, la douleur ne faisait que l’excitait un peu plus.

<< OniiChan .. Si t'es gentil, je retire la boule ! >>

Quelques larmes de plaisir faisant briller ses yeux, Len posa son regard sur Aoi. Avec la robe de Maid qu’il portait, sa moue soumise et ses cheveux qui commençaient à être décoiffés le faisait passer assez facilement pour une fille, heureusement pour lui qu’il ne se voyait pas. Len n’était pas du genre à apporter une grande importance à l’apparence mais il n’aimait pas du tout passer pour une fille.
Se cambrant d’autant plus en sentant le gode s’enfonçait assez violement et profondément en lui, Len laissa des gémissements étouffés se faire entendre quand Aoi activa le mode vibreur. Durcissant rapidement avec une excitation presque à son summum, Len laissa des larmes de plaisir couler. Gêné de ne pas pouvoir gémir son plaisir autant qu’il le voulait, il posa son regard sur Aoi en le suppliant du regard pour qu’il retire le bâillon, espérant avoir été assez sage pour.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMar 4 Nov - 22:11

<< A-Aoi … A-Aoi … >> 



Le regardant fondre de plaisir face aux va et viens que je faisais, je me sentais vraiment envieux de ce plaisir, je voulais tellement le ressentir. C'était un rêve. C'était un fantasme. Le baillonnant pour m'amuser avec lui, j'avais les joues rouges, j'étais devenu accro. Il m'en fallait toujours plus. Comme jamais.  Enfonçant un gode profondément en lui, je ne faisais même plus attention à sa douleur. Qu'il soit couvert de griffures, de morsures ou encore de marques, qu'est - ce que j'en avais à faire. 



<< OniiChan .. Si t'es gentil, je retire la boule ! >>



Aah .. qu'est - ce qu'il pouvait me donner envie actuellement. Cachant avec mon frêle corps le miroir qui se trouvait devant Len, je me baissai lentement tout en le regardant. Je le voulais. Voyant son membre devenir soudainement dur, je m'accrochai lentement à lui en griffant ses omoplates avant de laisser sa verge me pénétrer, poussant un gémissement assez osé de plaisir.
Je n'en pouvais plus, je voulais continuer, encore, toujours. Le regardant me supplier, je me contentai de l'ignorer en continuant de me donner du plaisir. Jouissant sur la robe de Maid, je ne pouvais pas faire quoique - ce soit tant que j'étais concentré sur le plaisir. Me retirant en prenant de nouvelles gorgées d'alcool, j'hésitais à retirer la boule. Mais finalement, je l'avais fait. Caressant tout d'abord ses joues, je passai mes mains dans ses cheveux, le rendant de plus en plus efféminé.


<< Len .. tu ressembles à une fille .. >>


Lui souriant avec amusement, je passai une nouvelle fois ma main dans ses cheveux et finis par retirer la boule qui se trouvait dans sa bouche. Aah, ce que c'était drôle de le voir ainsi. Je détachai une nouvelle fois le blond, l'emmenant dans la salle de bain de la chambre pour le montrer devant l'énorme miroir qui s'y trouvait. Le sourire aux lèvres, les joues rouges, on voyait parfaitement à quel point l'alcool ne m'allait pas. Finissant ma bouteille, je la laissai éclater en morceaux par terre et poussai assez violemment Len dans la baignoire, ignorant les peintures assez chaudes sur le plafond. Je n'était concentré que sur le plaisir après tout. 


<< Leen .. tes cheveux deviennent longs. >>


Je rigolai tranquillement, le masturbant assez violemment en ayant bien évidemment retiré le gode depuis un bon moment déjà. Je ne savais pas quoi lui faire, en faite, je m'en fichais.


<< OniiChaan, on le fait combien de fois encore euh ? >>


Je léchai ses mains, son cou, m'occupant de tout son corps. Je l'enviais. Tout son corps m'appartenais, ce qui était tout à fait normal. Mes yeux se perdaient. Je ressemblais moi aussi à une fille, moi aussi j'y ressemblais, mais qu'est - ce - que j'en avais à faire en faite ?  


<< En faite en faite, tu veux essayer quoi ? Imagine le fouet ! Non ! Mieux ! Tu veux quoi comme jouet ? >>
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMer 5 Nov - 11:56

Posant son regard sur Aoi avec une moue plus que soumise, Len voulut miauler pour attirer son attention en se voyant ignoré mais seul un faible miaulement se fit entendre, apparemment trop peu élevé pour qu’Aoi l’entende au vu de sa non – réaction.
Voyant finalement que son frère lui portait de l’attention, Len posa un regard d’autant plus soumis sur lui, laissant ses joues se faire caresser en fermant les yeux pour en profiter avant de les rouvrir à demi en regardant son frère, espérant qu’il le détache et qu’il ne lui faisait pas de faux espoirs.

<< Len .. tu ressembles à une fille .. >>

Détournant le regard de gêne, Len soupira le prénom d’Aoi quand il lui retira enfin ce qui l’empêchait de parler, le remerciant d’un air en total soumission, se laissant emmener dans la salle de bain avant de baisser le regard une fois face au miroir. Il n’aimait pas le reflet que lui renvoyait le miroir. Autant son air de soumis ne le dérangeait pas, autant le fait de ressembler à une fille le dérangeait pas. Il n’aimait pas ressembler à une fille. Chez Aoi, cela ne le dérangeait pas. Il était jeune, assez androgyne et était mignon en tout point. Mais lui, il avait seize ans, bientôt dix – sept, il était en passe de devenir adulte alors le fait d’être encore efféminé à son âge le dérangeait vraiment.
Sursautant au fracas que fis la bouteille sur le sol, il se laissa aller dans la baignoire, ne remarquant même pas les peintures au plafond. Son attention était portée sur Aoi et uniquement sur lui. Son regard bleuté était posé sur son frère qui le dominait, uniquement et seulement sur lui.

<< Leen .. tes cheveux deviennent longs. >>

Oui, c’était vrai. Il avait prévu de prendre rendez – vous pour aller les couper et qu’il recouvre une longueur moins courte. Mais ce n’était pas ce qui l’intéressait dans le moment présent. A vrai dire, il se fichait totalement de la longueur de ses cheveux pour le moment.
Se remettant bien vite à gémir, Len s’accrocha aux bords de la baignoire pour rester assis, gémissant de manière assez prononcé et violente.

<< OniiChaan, on le fait combien de fois encore euh ? >>

<< A-A-Autant q-que … T-Tu veux … >>

Totalement soumis à Aoi, Len l’était. Quoi qu’Aoi veuille faire, Len le suivrait. Tant qu’il ressentait du plaisir, tant qu’Aoi le dominait, il était prêt à tout faire pour lui, quitte à le regretter par la suite puisqu’il ne réfléchissait en rien à ce qu’il faisait, mais il ferait tout, absolument tout.
Frissonnant de plaisir tandis qu’Aoi s’occupait de son corps, Len ferma les yeux, profitant de la sensation que lui procurait son cher et tendre.

<< En faite en faite, tu veux essayer quoi ? Imagine le fouet ! Non ! Mieux ! Tu veux quoi comme jouet ? >>En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Empty

<< C-Ce C-Ce que tu veux … J-Je ferais ce que tu veux … >>

Posant son regard sur son vis – à – vis, Len prit le ton le plus soumis qu’il pouvait avoir.

<< A-Aoi … C-Caresse – moi … F-Fais moi m-mal … O-Onegai … >>
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMer 5 Nov - 12:29

<< En faite en faite, tu veux essayer quoi ? Imagine le fouet ! Non ! Mieux ! Tu veux quoi comme jouet ? >>En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Empty

<< C-Ce C-Ce que tu veux … J-Je ferais ce que tu veux … >>


Souriant à pleines dents, j'étais capable du fouet, j'étais capable d'utiliser tous ces instruments de torture sur mon grand frère. M'approchant un peu plus de lui en l'embrassant fougueusement, j'étais capable de vraiment tout avec lui. Ayant une autre bouteille à portée de main, je ne comptais pas m'arrêter maintenant. Pas là, alors que je pouvais profiter pleinement du corps de mon grand - frère, alors que je pouvais ressentir du plaisir avec lui. 


<< A-Aoi … C-Caresse – moi … F-Fais moi m-mal … O-Onegai … >>


Souriant à sa demande, je griffai profondément et longuement son torse, laissant du sang couler tout le long de celui - ci en l'ignorant totalement. Je comptais le faire souffrir, pleinement, jusqu'à ce qu'il atteigne l'extase, le summum du plaisir. Laissant ma queue masturber avec appui son membre, je pris une nouvelle gorgée d'alcool, commençant donc ma deuxième bouteille. Ayant fait glisser sa robe de maid, j'avais ensuite prit un fouet qui se trouvait dans la salle, une lueur d'amusement, de perversion dans les yeux. J'en voulais tellement plus que je ne connaissais plus rien de ma logique habituelle, que toute pensée avait disparue. L'alcool ne me collait pas, elle ne m'avait jamais collé et ne me collerait jamais.



<< OniiChaaan, si tu jouis sans mon autorisation tu seras puni ! >>


Lui souriant, je resserrai un peu plus ma prise au niveau de son membre, l'embrassant une nouvelle fois avant de descendre mes lèvres pour lécher son cou. Déposant de nouveaux suçons, il était certain qu'on allait voir ses suçons, même avec un col roulé, j'en avais tellement mit, dans des endroits tellement hasardeux qu'il était encore surprenant qu'il n'y ai plus que des suçons sur sa peau. De toute façon, vu sa façon d'être, il était juste couvert de marques et de sang. Le sang coulait sur son torse, sur ses épaules, sur son cou, de partout. Je n'allais pas en croire en me réveillant, en reprenant mes esprits, c'était .. beaucoup trop à mon goût rien que d'y penser. Mais qu'est - ce que j'en avais à faire. Attrapant l'une des mains de Len, je voulais qu'il me donne du plaisir, que je ne sois pas le seul à travailler sur cela. 


<< Leen. Fais moi plaisir. Caresse - moi. >>


Respirant malgré tout avec un peu de difficulté, mon corps commençait à crier que je dépassais ma limite d'alcool, que si je continuais, cela allait me poser des problèmes. Il le criait par la rougeur de mes joues camouflée par le plaisir, il le criait par ma respiration rapide et par cette sensation d'étouffement ainsi que de vertiges. Mais je l'ignorais. Prenant une nouvelle gorgée d'alcool en laissant quelques larmes couler, je laissai la main de Len caresser ma verge pour qu'il me masturbe, frissonnant de plaisir en perdant petit à petit conscience des faits, je n'avais pas connaissance de ma limite. Je ne savais plus rien, la bouteille dans ma main, elle glissait petit à petit, manquant d'éclater d'un moment à l'autre :


<< Len .. J'en veux encore .. j'en veux encore .. >>
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMer 5 Nov - 20:03


<< A-Aoi … C-Caresse – moi … F-Fais moi m-mal … O-Onegai … >>

Se laissant volontiers griffer, Len laissa un soupir mêlant la douleur et le plaisir se faire entendre, se fichant que son sang ne coule et ne le salisse lui ou l’endroit où il était. Il était concentré sur son plaisir, sur Aoi et rien d’autre. Qu’il soit couvert de suçon, de morsure, de griffure ou de sang, il s’en contrefichait. Pour le moment du moins. Le lendemain il allait être mort de gêne et allait avoir du mal à se montrer alors que la moindre parcelle de sa peau avait étés marquées par Aoi.
Miaulant assez fortement de plaisir en laissant malgré tout un ton de soumis se faire entendre, Len posa un regard brumeux de plaisir sur Aoi, attendant de savoir ce qu’il comptait lui faire.

<< OniiChaaan, si tu jouis sans mon autorisation tu seras puni ! >>

Hochant faiblement la tête pour montrer qu’il avait compris, Len gémit de plus en plus fortement en sentant Aoi devenir plus sauvage avec lui, soupirant de plaisir en sentant sa langue sur son cou pour y faire de nouveau suçon. C’était trop bon. C’était merveilleux. Il ne l’avait pas fait depuis trop longtemps à son goût, cela faisait trop longtemps qu’il n’avait pas ressentis autant de plaisir.
Laissant sa main se faire attraper, Len posa son regard sur Aoi, attendant son ordre.

<< Leen. Fais moi plaisir. Caresse - moi. >>

<< H-Haï … >>

Posant sa main sur le membre d’Aoi, Len le caressa d’abord doucement avant de commencer à être un peu plus sauvage, commençant à masturber Aoi tout en léchant son cou et en mordillant le lobe de son oreille. Faisant bien attention à lui procurer le plus de plaisir possible pour être ensuite récompensé à son tour.

<< Len .. J'en veux encore .. j'en veux encore .. >>

Se stoppant doucement, Len regarda Aoi avant de l’allonger doucement sur le lit. Il prit la bouteille d’alcool qu’il tenait, buvant une bonne partie de ce qu’il y avait avant de la laisser s’éclater au sol dans le coin de la chambre où il l’avait lancé. Regardant ensuite Aoi, il passa la langue sur son cou, titillant ses tétons avant de doucement se baisser petit à petit, atteignant finalement son membre. Executant la demande d’Aoi, Len lui procura du plaisir, mais différemment de d’habitude. Il passa tout d’abord sa langue sur le membre dur de son frère, finissant par le prendre en bouche. Il passa sa langue plusieurs fois sur l’extrémité pour l’exciter d’autant plus, attendant qu’il atteigne le plaisir absolu pour se retirer, levant un air soumis sur Aoi pour savoir si cela lui avait plu et si, dans le meilleur des cas, il pourrait avoir une récompense. Mais il devança Aoi avant même qu’il ne parle, réclamant de pouvoir jouir. Il atteignait son maximum. Si Aoi le touchait encore en l’empêchant de jouir, il n’allait pas pouvoir résister à la tentation.

<< A-Aoi … L-Laisse m-moi jouir … O-Onegai … >>
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<< Leen. Fais moi plaisir. Caresse - moi. >>

<< H-Haï … >>


Fermant les yeux en me sentant de plus en plus brûlant, je m'accrochai tout d'abord avec grande difficulté à son dos, me cambrant assez violemment quand il commença à aller de plus en plus fort. Je ne pouvais pas me retenir aussi facilement que ça après tout. C'était beaucoup mieux que le plaisir seul, il fallait l'avouer. Mais le plaisir seul .. je ne savais même pas pourquoi je continuais de le faire à vrai dire. C'était énervant. C'était frustrant de le faire par manque, et seulement par manque.



<< Len .. J'en veux encore .. j'en veux encore .. >>



Gardant toujours la bouteille d'alcool, je le regardai de façon .. incomprise quand il me la prit pour en boire une partie avant de la laisser tomber. Mon alcool .. ? Je le voulais moi .. Restant silencieux en le regardant, le rythme rapide, je me cambrai légèrement en m'accrochant cette fois - ci à ses cheveux, me pliant bien vite pour être légèrement assis, tenant la tête de mon grand - frère adoré en rougissant de plus en plus. C'était bon. C'était vraiment trop bon cette sensation, cette langue qui se promenait sur mon membre. Comment pouvait - on ne pas aimer cela ? Ouvrant la bouche en poussant des gémissements de plus en plus osés, je laissai un filet de bave couler le long de mes lèvres, j'allais perdre le contrôle de mon corps. Entièrement. Finissant par jouir de façon bien rapide, je me sentais vraiment étrange. Tout mon corps se plaignait d'en vouloir, encore et encore. Tremblant en laissant des larmes de plaisir couler, je regardai l'air soumis de Len en cherchant malgré tout à reprendre mon souffle. Je ne voulais plus comprendre quoique ce soit en faite. 



<< A-Aoi … L-Laisse m-moi jouir … O-Onegai … >>



Prenant entre mes mains son visage, je le soulevai lentement pour l'embrasser, me fichant du goût du sperme. J'étais habitué. Qu'est - ce que j'en avais à faire en faite. Fermant un peu plus les yeux, je caressai longuement sa joue, mon caractère changeant du tout au tout. Je pouvais être sauvage, devenir soudainement beaucoup plus sensible puis retomber dans le sadisme. Passant ma main dans ses cheveux en le regardant d'un air amoureux, je l'embrassai une nouvelle fois, le plaquant à mon tour au lit en échangeant les rôles. Remettant alors sa robe de maid, je regardai autour de moi un court instant, attrapant mon portable pour finalement commencer à le masturber. On allait ajouter une nouvelle photo dans ma collection après tout. Serrant violemment son membre, je commençai alors à le masturber, enclenchant le mode vidéo sans vraiment y faire attention. Filmant tout, que ce soit ses gémissements, ses mouvements, je filmai tout sans y faire attention, j'étais juste dans le feu de l'action. Je ne l'avais pas autorisé à jouir, mais je savais parfaitement qu'il n'allait pas tenir très longtemps. La caméra filmant tout son corps, - ou du moins, ce qui était intéressant -, elle montrait parfaitement dans quelle position il était. De la tête jusqu'à mi cuisse, on voyait absolument tout de son corps.

J'attrapai alors un gode, l'enfonçant violemment en lui en ayant juste humidifié ce qu'il fallait. Ignorant totalement toutes ces précautions. Enclenchant alors le mode vibreur, je le laissais jouir à sa guise, éteignant le portable pour attraper le fouet et lui sourire à pleines dents. Je ne comptais pas le laisser faire après tout, qu'importe ses plaintes ou ses cris, je n'allais plus m'arrêter désormais. 
Même s'il avait encore le gode en lui, je le mis à quatre pattes,  faisant des va et viens en lui avec cet objet vibrant depuis déjà un bon moment. Oh. Il y avait l'anneau vibrant que je comptais mettre après. Mais pas maintenant, c'était certain. Lui donnant un violent coup de fouet dans le dos en laissant le son résonner dans toute la pièce, je finis par abandonner l'idée de mettre l'anneau plus tard. Je voulais le voir fondre de plaisir là, maintenant. Le mettant autour de son gland, je redonnai un violent coup de fouet en laissant le sang couler plus, toujours plus. Il allait avoir des cicatrices marquées, des cicatrices qui pouvaient rester à vie si j'y mettais tout autant de puissance. 


<< Len .. fallait pas jouir .. >>
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<< A-Aoi … L-Laisse m-moi jouir … O-Onegai … >>

Une moue soumise sur son visage, Len se laissa embrasser par Aoi, ne faisant même pas attention au goût particulier que pouvait avoir le baiser qu’il se donnait l’un l’autre. Sa joue se faisant caresser, Len plongea un regard totalement soumis et envieux de jouir dans les yeux de son petit – frère qu’il aimait tant. La frustration commençait à monter en lui, ainsi que la douleur. Il avait envie de jouir, et le fait de ne pas assouvir son envie ne faisait que le frustrer. Il voyait son frère jouir de ses caresses et de ses actions, mais lui n’avait le droit à rien. Alors il était frustré. Il voulait jouir. Il le voulait plus que tout.
Se laissant plaquer au lit sans opposer une quelconque résistance, Len se laissa vêtir une seconde fois de la robe de Maid sans forcément savoir pourquoi son frère faisait une telle chose, se contentant de prendre une moue encore plus gêné quand il vit son tendre frère remplit de sadisme attraper son téléphone. Len se cambra alors violemment quand son membre se fit empoigner, gémissant sans gêne de plaisir, quitte à mourir de gêne plus tard si jamais Aoi lui montrait la vidéo. Mais dans l’instant présent, tout ce qu’il voulait, c’était obtenir la permission de jouir. Parce qu’il savait qu’il ne tiendrait plus très longtemps.

<< A-Ao …Aaaah ! >>

A peine eut – il commencé sa supplique qu’il sentit quelque chose le pénétré, ne le faisant que se camber d’autant plus, ses gémissements s’intensifiant, finissant par désobéir Aoi et se mettre à jouir, ne pouvant se retenir plus longtemps de se soulager. Len murmura alors des excuses envers Aoi, l’appelant « AoiSama » sans forcément en connaitre la raison avant de docilement se mettre à quatre pattes, attendant sa punition pour sa désobéissance. Mais loin d’être calmé, il se remit bien vite à miauler de plaisir quand il sentit les vas – et – vient du gode en lui alors qu’il venait à peine de jouir. Le premier coup de fouet arriva alors, laissant Len se cambrer de plaisir en laissant un miaulement du même genre de faire entendre, appréciant de souffrir, appréciant que son frère le martyrise ainsi. Son sang avait beau coulé, Aoi avait beau le fouetter au point de sûrement lui laisser des marques pendant un long, très long moment, Len ne pouvait s’empêcher de laisser son plaisir se faire entendre. A chaque coup de fouet, il gémissait. A chaque fois que son dos souffrait, il gémissait. Il était totalement soumis au bon vouloir de son frère, totalement docile et sans opposition, acceptant tout ce qu’il voudrait, faisant tout ce qu’il voudrait.

<< Len .. fallait pas jouir .. >>

<< G-Gomen A-AoiSama … Aaah … >>

Réclamant d’avoir mal, de souffrir, Len gémissait et se cambrait, étant totalement envouté par le plaisir qu’il ressentait. L’alcool ingurgité et le sadisme d’Aoi envers lui le faisait se retrouver totalement soumis et envieux de jouir, plusieurs fois, beaucoup de fois.

<< O-Onegai … A-AoiSama l-laisse moi j-jouir … J-Je veux … Aaah … F-Fais moi mal … J-Je veux souffrir … >>
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Aoi Shigure

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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeDim 1 Fév - 17:23

<< Len .. fallait pas jouir .. >>

<< G-Gomen A-AoiSama … Aaah … >>


Une main sur ses cuisses, à tenir le gode dans une main pour faire des va et viens en lui assez brusques, je finis par la laisser glisser. J'étais ... A moitié conscient, c'était comme si je m'endormais déjà, ou comme si je n'avais plus vraiment conscience de ce que je faisais et que cette partie là de la soirée n'allait pllus vraiment rester dans ma mémoire, ou alors, seuls de vagues souvenirs allaient rester. Approchant mon visage du dos de Len, je le mordis assez violemment en laissant du sang couler, placé de sorte à pouvoir le masturber en même temps et le faire mourir de plaisir, encore et encore, sans que ça ne s'arrête. Sans qu'il n'ait une seule seconde de répit, un instant pour reprendre son souffle ou pour réfléchir un minimum à la situation. Je ne voulais pas lui en laisser le temps à vrai dire.
Donc, prenant une bouteille d'alcool contre - moi, c'était à peine si je pouvais encore boire un peu. J'étais à un stade d'ivresse beaucoup trop avance. Et je n'eus la force de boire que quelques gorgées du contenu avant qu'il ne glisse entre mes mains et éclate en morceaux. Donnant un violent coup de fouet dans son dos, sans contrôler ma force.


Et, le reste de la journée passant ainsi, j'avais fini par m'endormir, ou plutôt perdre connaissance, dans les bras de Len après avoir joui. Non pas que je faisais attention au reste, ni à son état. Je m'étais endormi sur lui, ignorant le sang qui coulait encore ou qui commençait à coaguler, ignorant ses morsures, ses griffures ou les traces de blessures qui pouvaient rester. Et qui allaient rester pendant un bon moment encore. Je l'avais laissé là, encore en Maid, les poignets menotés pour l'empêcher de bouger. Bon, bien évidemment, il n'avait plus aucun objet sur lui ou pénétré en lui, c'était déjà ça de gagné.


Ce fut donc en me réveillant, un horrible mal de crâne accompagnant mon réveil, que je me rendis compte de la situation. Virant en rouge en me rappelant aussitôt de ce que j'avais pu lui faire, je détournai le regard et commençai à retirer ses menottes en vérifiant son état. Aah. .. l était encore vivant au moins. C'était déjà ça de fait. Poussant un faible soupir de soulagement, j'haussai un sourcil en voyant mon portable clignoter et l'attrapai, rougissant d'autant plus en voyant le contenu du message qui ne m'tait apparemment pas destiné. Une photo .. de ma mère .. dans uneposition assez spéciale. J'allais en parler à Len un jour peut - être. Enfin bon, là n'était pas le moment. Le secouant en attendant qu'il se réveille pour l'embrasser, je forçai sur mes jambes et parti prendre une bassine d'eau avec une serviette, commençant à panser ses plaies pour éviter qu'elles ne s'infectent.


<< O - OniiChan .. Euh .. M - Maman m'a envoyé un message ... euh ... t - t - tu peux voir ? C - C - C'est gênant. >>


Détournant une nouvelle fois le regard tout en lui donnant mon portable, je passai une main dans mes cheveux de façon nerveuse, me levant lentement :


<< Et ils vont bientôt rentrer. Faut se dépêcher .. >>
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Epuisé autant physiquement que mentalement par tous ce qu’il venait de se passer entre lui et Aoi, Len avait bien vite finis par s’endormir en serrant tant bien que mal Aoi contre lui, ne faisant même plus attention à la robe de Maid que son frère lui avait forcé à mettre ou les menottes qui enserraient encore ses poignets. Il était trop épuisé pour faire attention à quoi que ce soit, alors il s’était endormis, sans avoir la force de faire quoi que ce soit d’autre.

Le lendemain, Len dormait encore quand Aoi se réveillait, chose qui était habituelle depuis le temps puisque Len dormait toujours beaucoup, beaucoup plus. Se sentant secoué, Len gémit légèrement, ouvrant faiblement les yeux en se tournant vers Aoi, cherchant à comprendre pourquoi il se faisait autant secouer de bon matin alors qu’il dormait bien. Len apprécia alors le baiser, se relevant légèrement pour se mettre en tailleurs sur le lit, bien qu’une douleur dans le bas du dos le fit grimacer sans pour autant qu’il se plaigne. Il laissa alors Aoi nettoyer ses plaies sans rien dire, grimaçant légèrement de temps à autre tandis que les moments de la veille lui revenait en mémoire, laissant ses oreilles et sa queue de chat apparaitre sous le coup de la gêne. Pourquoi devenait – il aussi soumis … ? C’était affreusement gênant ! Surtout qu’il devenait autant soumis que masochiste … Len avait envie de mourir de honte.

<< O - OniiChan .. Euh .. M - Maman m'a envoyé un message ... euh ... t - t - tu peux voir ? C - C - C'est gênant. >>

<< Mmh ? >>

Attrapant ses lunettes pour mieux voir, Len prit le portable d’Aoi, fronçant les sourcils en voyant le message. Il regarda s’il y avait un message avec la photo et il vit un texte court, qu’il lut, avant de prendre une moue sérieuse et intrigué. Bien que gêné parce qu’il y avait d’écris dans un telle message.

<< Et ils vont bientôt rentrer. Faut se dépêcher .. >>

<< OkaSan trompe OtouSan. Ce message était destiné à un amant. >>

Il avait énoncé calmement la chose, ne disant que les faits. Son esprit était déjà basé sur ce qu’il devrait faire. Le dire ? Ne pas le dire ? Le faire découvrir à leur père par « accident » ?
Len se leva calmement, ramassant ses affaires avant de retirer la robe de Maid pour se changer, partant se regarder dans la glace pour se recoiffer, faisant la grimace à certains pas qu’il faisait, une douleur lui lança dans le bas du dos selon sa manière de marcher ou de se tenir.

<< Maintenant, il ne reste plus qu’à savoir ce que l’on fait … >>

Poussant un soupir Len se dit que si leur père l’apprenait, il risquait certainement de quitter leur mère, ce qui se comprenait sans soucis. Mais ce que Len ne voulait pas, c’était que cette séparation le sépare d’Aoi. Il ne supporterait pas de rester loin de lui. En y pensant, Len reporta toute son attention sur Aoi, lui souriant légèrement avant de l’embrasser tendrement.

<< Tu peux marcher ou tu veux que je te porte mon Chaton ? >>  
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<< Et ils vont bientôt rentrer. Faut se dépêcher .. >>

<< OkaSan trompe OtouSan. Ce message était destiné à un amant. >>



<< H - Hein ? >>



Manquant de m'étouffer alors que je ramassai tant bien que mal mes affaires, j'enfilai lentement ma chemise puis la boutonnai, mon visage exprimant parfaitement à quel point j'étais fatigué. Apportant ma main à mes lèvres en ne me sentant pas du tout bien, j'avais bu beaucoup trop d'alcool. Beaucoup trop. Forçant une nouvelle fois sur mes jambes tout en marchant avec grande difficulté, je ne sentais plus mes jambes, ni mon dos en faite. J'avais beaucoup trop souffert. C'était extrêmement douloureux en plus de ça. Boîtant énormément, je passai dans la salle de bain en étant pris de vertiges, finissant par recracher tout l'alcool que j'avais ingéré la veille. Pâle, je me recoiffai avec difficulté, me lavant le visage en baillant de temps à autres. Tournant mon regard bleuté sur mon frère, je prolongeai légèrement le baiser, attrapant sa main pour avoir un contact physique autre que ses lèvres.


<< Tu peux marcher ou tu veux que je te porte mon Chaton ? >>  



<< .. Porte moi. >>



Ouvrant mes bras pour qu'il m'attrape, je me serrai contre - lui de façon douce, posant ma tête contre - lui avant d'aussitôt m'endormir, tombant de sommeil. Serrant les poings sur son haut, je laissai ma queue de chat bouger de temps à autres, d'un air paisible. Le laissant ainsi me porter durant tout le trajet, me réveillant seulement en entendant ma mère venir et me secouer pour que je me réveille, me demandant aussitôt de lui donner mon portable.


<< K - KaaSaan .. >>


<< Aoi ! Ton portable. Maintenant. >>


<< A - A - Attends ... K - K - Kaasan .. >>


Me faisant secouer, je recommençai à sentir l'alcool monter en moi, perdant violemment des couleurs, je me remis bien vite sur pied, poussant ma mère pour partir vomir, revenant d'un pas tremblant en me mettant contre Len :


<< Oh. Len, Aoi. On a un bonne nouvelle. Vous allez avoir un nouveau p'tit - frère ! Votre mère est enceinte. >>


Nichant ma tête dans le cou de Len en écoutant la conversation, je relevai mon regard vers le blond en me demandant si c'était bel et bien l'enfant de mon père qui allait être mon petit - frère. Sans réaction spéciale, je cachai en même temps tous les suçons et les traces de morsures qui se montraient sur son cou, donc je n'allais pas bouger même si j'en avais envie. Et puis, si je me retournais, j'allais sûrement croiser le regard suppliant, furieux de ma mère qui allait me demander de lui passer mon portable.


<< TouSaan .. K - KaaSan te .. trompe .. >>


Laissant mes yeux se fermer tout en parlant, je me serrai un peu plus contre mon grand - frère, ayant sorti ses paroles sans les avoir trier ou sans même avoir pensé aux conséquences.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeDim 1 Fév - 18:55


<< Tu peux marcher ou tu veux que je te porte mon Chaton ? >>  

<< .. Porte moi. >>

Attrapant Aoi pour le porter et ainsi qu’il ne souffre pas en marchant, Len eut un sourire en le voyant se serrer contre lui, caressant ses cheveux l’espace d’un instant avant de sortir du Love Hôtel, Len porta calmement Aoi durant tout le trajet, grimaçant légèrement de temps à autre, ayant tout de même mal dans le bas du dos. Son frère avait beau être petit et léger, il restait un poids et ce poids faisait souffrir Len à quelques moments.
Une fois arrivé, Len fronça les sourcils en voyant l’attitude de sa mère avec Aoi. Elle ne pouvait pas être plus douce franchement ?

<< K - KaaSaan .. >>

<< Aoi ! Ton portable. Maintenant. >>

<< A - A - Attends ... K - K - Kaasan .. >>

<< Oy. Tu pourrais pas être plus douce non ? >>

Laissant Aoi partir en prenant une moue inquiète, Len finit par reprendre son frère contre lui, le serrant paisiblement dans ses bras en caressant ses cheveux pour l’aider à se sentir mieux.

<< Oh. Len, Aoi. On a un bonne nouvelle. Vous allez avoir un nouveau p'tit - frère ! Votre mère est enceinte. >>

<< Ah ? >>

Len était content de la nouvelle, cela se voyait puisque sur le coup, il avait souri. Mais l’instant d’après, il avait perdu son sourire en se disant que, peut – être, cet enfant n’était pas celui de leurs père. Len fit donc comprendre à son frère qu’il ne savait pas la réponse à sa question, et il entreprit de continue de le prendre contre lui, le berçant doucement d’un air protecteur.

<< TouSaan .. K - KaaSan te .. trompe .. >>

Len se figea l’espace d’un instant avant de fermer les yeux en poussant un long soupir. Il regarda alors son père dans les yeux en hochant la tête pour confirmer les paroles d’Aoi, attrapant le portable de son frère avant d’ouvrir le message pour tendre le téléphone à son père sans que sa mère ne puisse le prendre et qu’il puisse voir que oui, sa femme le trompait.

<< Je pense que vous devriez parler de cela. On va vous laissez vous expliquer. >>

Len attrapa alors Aoi en le portant comme une princesse pour le porter jusqu’à sa chambre où il l’allongea sur le lit en s’allongeant avec lui, le gardant contre lui en caressant doucement ses cheveux.

<< Tu devrais dormir, tu te sentiras sûrement mieux après. >>
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMar 3 Fév - 6:52

<< TouSaan .. K - KaaSan te .. trompe .. >>


Silencieux ensuite, je n'avais pas de filtre pour parler de ce genre de choses quand j'étais dans cet état là.  J'étais fatigué, je n'en pouvais plus, alors je disais ce que j'avais sur le cour, aussi simplement. Me faisant bercer, je gardai tant bien que mal les yeux ouverts, tentant de jeter un regard vers les deux adultes avant de me renfermer sur moi - même. Ah. J'avais dit ça trop tôt ? KaaSan ne paraissait vraiment pas de bonne humeur .. et Tousan aussi ..


<< Je pense que vous devriez parler de cela. On va vous laissez vous expliquer. >>



Me collant au torse de mon frère quand il me porta, je laissai mes yeux se fermer d'eux - même pendant le trajet, regardant le cou endommagé du blond. C'était moi qui avait fait ça .. ? Caressant lentement une des morsures, je le laissai m'allonger et me serrai fortement contre - lui, de façon ultra possessive. 


<< Tu devrais dormir, tu te sentiras sûrement mieux après. >> 



<< OniiChan .. j'ai bien fait .. ? >>


Enroulant mes bras autour de son cou, je l'embrassai sur le coin des lèvres, fermant les yeux tout en voulant juste profiter de lui un court moment. L'embrassant encore, je sentis la fatigue s'emparer de moi et m'endormis profondément contre - lui, mes oreilles de chat sortant pour bouger de temps à autres, mes joues rosées et ma queue qui s'apaisait laissait voir que je n'avais pas conscience des répercussions qu'allaient avoir mes mots, sans doute à cause de la fatigue. 


Dormant profondément le reste de la journée, serrant fermement Len contre - moi, je fus de nouveau interrompu dans mon sommeil par des secousses, sursautant en voyant ma mère :


<< Toi. Pourquoi tu l'as dit ? >>


Relevant le regard pour croiser ses yeux emplis de haine, je me renfermai soudainement sur moi - même, me faisant tirer par le poignet avant d'être jeté contre un coin de la pièce. Le regard perdu, je me rattrapai tant bien que mal en laissant ma queue de chat s'hérisser, me relevant avec difficulté, je regardai avec difficulté Len, partant me cacher dans ses bras en étant incapable d'affronter la situation.


<< AOI ! REPONDS MOI ! >>


Enroulant mes bras autour de son torse, je finis par pousser un gémissement de peur, me renfermant sur moi - même quand je commnçai à l'entendre m'insulter de tous les noms, et je fus encore plus mal quand elle laissa les mots "alcoolique" ou ce genre de choses à mon égard, ne supportant pas ces remarques là.


<< O - OkaaSan .. Yamete .. >>
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<< Tu devrais dormir, tu te sentiras sûrement mieux après. >>

<< OniiChan .. j'ai bien fait .. ? >>

<< Oui, ne t’inquiète pas. OtouSan devait le savoir de toute façon. Il valait mieux le dire tout de suite, sans attendre. >>

Souriant légèrement, Len serra Aoi contre lui, le berçant doucement en caressant ses cheveux pour qu’il puisse dormir tranquillement, sans s’inquiéter de quoi que ce soit, et qu’il se rétablisse tranquillement. Mais bientôt, apaisé par la présence endormie de son petit – frère chéri, Len finit bientôt par se fatiguer également, fermant rapidement les yeux et se mettant à somnoler, serrant toujours autant son frère contre lui.
Somnolant auprès d’Aoi, Len fit la moue en sentant des secousses puis une voix qui lui était maintenant désagréable et qui faisait automatiquement monté de la haine en lui. Len eut à peine le temps d’ouvrir les yeux qu’il sentit plus qu’il ne vit sa mère lui arracher violemment des bras son frère qui y dormait tranquillement. Il se releva alors bien vite, ses oreilles de chat apparaissant en se dressant en arrière, signe qu’il était irrité. Mais quand Aoi revint contre lui, Len passa ses bras autour de lui, le serrant fermement comme s’il était son bouclier et qu’en le serrant ainsi, il le protégeait.

<< AOI ! REPONDS MOI ! >>

Len garda ses oreilles rabaissé en arrière, ayant une moue agressive au visage en entendant sa mère bien qu’il était affectueux et tendre au possible envers Aoi qu’il serrait dans ses bras.

<< O - OkaaSan .. Yamete .. >>

Sa mère continua sans apparemment avoir entendu, ou ne voulant pas entendre Aoi, Len finit par laisser ses nerfs éclataient. Il s’adressa alors à sa mère en ayant un ton plus qu’agressif et désagréable au possible, ton qu’il n’avait jamais utilisé auparavant. Mais malgré cette voix et cette attitude envers sa mère, Len serrait tendrement Aoi dans ses bras, voulant le protéger de sa mère.

<< Uruse ! Tu n’as rien à dire sur son comportement quand toi – même tu ne te conduis pas comme il faut ! Il n’y est pour rien si tu n’es pas capable d’être fidèle à ton propre mari ! Aoi a fait ce qu’il fallait ! Alors ferme – la vieille femme ! Assume ton erreur et les critiques que te font entendre OtouSan ! Tu dois régler ça avec lui ! Pas Aoi ! >>

Les oreilles de chat toujours baissées en arrière, Len finit par entrouvrir les lèvres, montrant des canines pointues, pareilles à celle des chats, signe qu’il n’hésiterait pas à agresser sa mère si elle osait posait ne serait – ce qu’une fois la main sur Aoi qu’il protégeait de ses bras.

<< Va- t – en ! >>



Sa voix était basse, sourde, agressive. Si jamais sa mère lui répondait ou toucher à Aoi, Len n’allait pas hésiter à lui sauter dessus. Pour lui, sa mère avait baissé dans son estime quand il avait appris qu’elle trompait son père et qu’elle avait le culot de tomber enceinte sans oser dire à son mari que cet enfant n’était pas de lui. Alors maintenant, qu’elle ose agresser et insulter ainsi Aoi … Len ne la considérait plus comme sa mère. La seule personne désormais qui réussirait à dompter le chat sauvage qu’était devenu Len allait être son père, ou Aoi. Certainement pas sa mère.

- Len, calme toi.

<< Mais, OtouSan ... >>

- Len, s'il te plait.


<< Haï. Gomen. >>

Len se calma aussi tôt, reprenant une moue normale en laissant ses oreilles prendre une position normale. Autant dire que son père avait de l'autorité sur lui, mais plus sa mère. Len garda alors Aoi contre lui, laissant son père faire sortir leurs mère de force et fermer la porte, laissant alors les deux frères tranquilles. Len détacha légèrement Aoi de lui, le prenant par le menton pour pouvoir le regarder dans les yeux. Etant tout de suite beaucoup plus gentils et affectueux, agissant toujours ainsi avec son petit - frère puisque pour Len, c'était la chose qui lui était le plus précieux au monde.

<< Aoi ... ? Ca va ? Elle ne t'as pas fait mal ? >>
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<< Aoi ... ? Ca va ? Elle ne t'as pas fait mal ? >>

Un regard posé sur mon frère, je laissai mes yeux bleutés briller légèrement et passai lentement mes mains sur son torse, dposant ma tête dans sn cou. Je voulais juste dormir moi, je voulais juste être tranquille et ne plus avoir de problèmes. Alors .. pourquoi ? Me contentant d'hocher la tête pour dire que ça allaiit, que je n'avais pas mal. 
L'embrassant sur le coin des lèvres en souriant d'un air rassurant, je laissai ma queue de chat bouger de temps à autres, fouettant ensuite l'air.


<< Je ... t'as pas trop mal ? Enfin, avec les  c - coups de fouet .. >>


Rougissant tout en parlant, je l'embrassai une nouvelle fois et glissai mes doigts dans la peau de son cou, haussant un sourcil en revoyant ma mère entrer d'un air .. assez nerveux :


<< Hum. Donc vous vivrez chacun sous la garde d'un autre après que j'aie accouchée. Oh. Et ça va être un garçon mi - démon. >>


La regardant, je finis par oser déposer un regard sur le ventre de ma mère, me demandant à quoi il pouvait ressembler. Et, enfin, ils avaient fini par nous dire son nom "Chi". Oh. Ok.


<< NiiChan. Ca veut dire que .. j'vais être grand - frère ? Comme toi ? Tout comme toi ? >>
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 24 Icon_minitimeMar 3 Fév - 21:06

Rassuré par ce qu'Aoi lui disait, Len lui sourit à son tour, le gardant contre lui en refusant de le lâcher, voulant le garder tout près de lui. Il craignait que la mère ne revienne pour insulter Aoi ou se montrer violente envers lui. Et si jamais elle le faisait, Len n'allait pas rester juste inactif, à la menacer. Cette fois, il agirait. On ne touchait pas à son Aoi sans conséquence aucune.

Se laissant volontiers embrassé, Len passa sa main dans les cheveux de son frère, jouant avec ses mèches de cheveux.


<< Je ... t'as pas trop mal ? Enfin, avec les  c - coups de fouet .. >>

<< N-Non, ça va. Selon comment je bouge ça peut légèrement me faire mal mais ça va, c'est supportable. >>

Ayant rougit de gêne tout comme Aoi en repensant à la soumission dont il lui avait fait preuve, Len le laissa parcourir son cou de ses mains, frissonnant à son contact avant de reprendre une moue sur la défensive en voyant sa mère entrait. Il se méfiait maintenant. 


<< Hum. Donc vous vivrez chacun sous la garde d'un autre après que j'aie accouchée. Oh. Et ça va être un garçon mi - démon. >>

Len hocha simplement la tête sans rien dire, laissant sa mère sans rien dire en retenant le prénom de son futur petit - frère mais aussi en retenant le fait qu'ils allaient être séparés dans neuf mois. Ils se verront certainement au lycée, mais ils ne seront plus autant ensemble qu'avant. Et cela déprimait Len d'avance.


<< NiiChan. Ca veut dire que .. j'vais être grand - frère ? Comme toi ? Tout comme toi ? >>

<< Oui. Tu vas être tout mignon en grand - frère ! >>

Len fit un grand sourire à Aoi, lui ébouriffant les cheveux avant de finalement perdre son sourire en repensant aux paroles de sa mère. Il poussa alors un soupir, regardant tristement Aoi.


<< Ah ... J'ai pas envie qu'on soit séparé moi ... Et puis j'ai pas envie de te partager ! T'es rien qu'à moiiiiiiii ... >>

Len serra alors Aoi contre lui d'un air ultra possessif, nichant sa tête dans ses cheveux en respirant son odeur. Mais il le faisait aussi pour changer de sujet, ne voulant pas penser à la séparation au risque de se mettre à déprimer devant Aoi.


<< T'es ma propriété à moiiiiiiiiiii ... >>
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