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 En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]

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Len Shigure




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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeSam 5 Avr - 19:11

<< C - C'était bien ? >>


<< Oh... O-Oui... >>



Len, essouflé, passa la main dans ses cheveux en fermant les yeux, tentant de se calmer un minimum. Il avait peut - être atteint le plaisir mais il est tout de même encore un peu excité et mettait un peu de temps avant de pouvoir se calmer et retrouver un étant un tant soit peu normal pour pouvoir converser avec son frère. Len se releva donc pour être en position assise sur le bord du lit et enfila un boxer en regardant son frère du coin de l'oeil.



<< L - Len .. j - j'ai mal ... >>


<< Je... >>



<< Len .. f - fais le moi. >>


Dévisageant son frère de surprise, Len rougit passer quelques secondes avant d'esquisser un léger sourire.



<< Gomen ! J - Je voulais pas dire ça ! >>


Attrapant Aoi par un de ses poignet, Len l'allongea sur son lit et vint se placer au dessus de lui en le regardant dans les yeux avec les joues toujours aussi rose et la respiration légèrement rapide.



<< Ne t'excuse pas... >>



Déposant un baiser dans son cou, Len vint mordiller légèrement son oreille.



<< Je ne peux pas te laisser comme ça, tu as raison... >>



Passant ses mains sous le tee - shirt d'Aoi, Len caressa le torse de son frère tout en l'embrassant tendrement.
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Aoi Shigure

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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeSam 5 Avr - 19:47

<< Gomen ! J - Je voulais pas dire ça ! >>


Le regardant d'un air gêné, j'hoquetai de surprise quand il m'allongea le long du lit et bougeai légèrement quand il fut au - dessus de moi, une érection se faisait de plus en plus présente et me gênait toujours autant, étouffant dans ce tissu serré qu'était mon boxer. Mon jean s'était légèrement baissé en laissant voir la bordure de mon boxer et mon haut, légèrement relevé en laissant ressortir ma peau pâle. 


<< Ne t'excuse pas... Je ne peux pas te laisser comme ça, tu as raison... >> 


Je frémis de plaisir quand il laissa ses lèvres se déposer sur la peau de mon cou, mon corps entier étant devenu des plus sensibles. Je frissonnai assez vite de plaisir au contact de ses dents sur mon oreille, me mordant aussitôt la lèvre inférieure. Je l'aimais. Je l'aimais plus que tout, quitte à me faire moquer par nos parents, quitte à y laisser ma vie ou mon honneur, j'étais capable de me donner entièrement à lui pour le restant de ma vie. Je prolongeai le baiser en mettant ma main dans ses cheveux, légèrement tremblant à cause de l'excitation. Ses mains que je désirais tant caressaient mon torse, mes jambes bougeaient légèrement pour l'inciter à continuer et mon souffle rapide ainsi que chaud pouvaient montrer à quel point j'étais à bout. Arrêtant le baiser pour reprendre mon souffle, je le regardai d'un air tendre et amoureux, commençant à perdre patience. Je gémis faiblement en guise de plainte et retirai avec l'aide de Len mon haut. Je le laissai trainer par terre, échangeant nos places pour me mettre à califourchon sur lui et l'embrasser un peu plus. Il n'empêchait que c'était bien gênant de penser au fait que j'allais être nu face à lui, comparé à ma première fois où j'étais en maid. Mon corps nu, rempli de sueurs, collé au sien, je me l'imaginais déjà. Mon corps désireux de plaisir, je bougeais des hanches pour sentir son membre contre mon entrée, ne contrôlant plus aucun de mes gestes. 

Je l'embrassai une nouvelle fois, collant finalement mon torse contre le sien en pénétrant ma langue dans sa bouche pour chercher la sienne. Me levant avec difficulté pour prendre le lubrifiant d'un air gêné, je détournai le regard avant de le lui tendre en remontant avec difficulté mon jean. Je me mis lentement assis face à lui, retirant très lentement mon jean avant de le laisser par terre. 
J'échangeai nos places tant bien que mal pour m'allonger face à lui, voulant le regarder prendre plaisir à l'acte malgré tout.


<< OniiChan .. j'en peux plus ... >>


J'enroulais mes bras autour de son cou tout en le regardant dans les yeux, laissant une vue plutôt prenant sur mon corps déjà bien excité, ma poitrine montant et descendant au rythme de ma respiration et mon membre déjà bien tendu malgré le tissu qui retenait de l'être parfaitement. Je fermai lentement les yeux, me demandant s'il allait encore me préparer ou non.


<< Dépêche - toi .. >>
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Len Shigure

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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeSam 5 Avr - 20:03

Len continua de caresser le torse d'Aoi, le couvrant de baiser pour lui montrer tout son amour pour lui. Quand le baiser s'arrêta, il revint déposer des baisers dans son cou avant d' y mordiller légèrement la peau de son cou en y déposant un suçon peu voyant, mais un suçon tout de même.
Une fois qu'il fut allongé et sans son jean, Len revint sur Aoi et re caressa son torse avant de descendre ses mains pour atteindre son entrejambe. Il le caressa doucement à travers le boxer, mordillant son oreille.


<< OniiChan .. j'en peux plus ... Dépêche - toi .. >>


<< Haï Haï... >>


Souriant légèrement, Len vint retirer le boxer d'Aoi, le délivrant de sa sensation d'étouffement qui concernait cette partie là de son corps avant de venir déposer du lubrifiant sur deux de ses doigts pour venir préparer Aoi. Ce n'était que sa deuxième fois et Len ne voulait pas lui faire mal en se disant qu'une seule fois lui aurait suffit. Il vint donc pénétrer ses deux doigts pour préparer Aoi au mieux avant de retirer boxer, déjà bien excité malgré tout.

Quand il estima avoir suffisamment préparer Aoi, il retira ses doigts et étala du lubrifiant sur son membre à lui avant de venir en pénétrer le bout en Aoi en gémissant déjà légèrement. Il voulait tout de même attendre un peu avant de passer aux choses plus sérieuses.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeSam 5 Avr - 20:24

<< OniiChan .. j'en peux plus ... Dépêche - toi .. >>

<< Haï Haï... >>


Je me sentais parfaitement bien, entièrement à lui. Jamais je ne me lasserai de cette sensation, jamais je ne l'abandonnerai pour quelqu'un d'autre, jamais je n'aurais peur de lui. Je lui appartenais, je ne comptais pas laisser les autres toucher à mon frère. Les yeux fermés, je me sentais quand même beaucoup mieux une fois entièrement nu avant de frémir de plaisir. Ouvrant la bouche pour pousser des gémissements assez prononcés, j'ouvris avec difficulté les yeux, les larmes aux yeux par le plaisir que deux simples doigts pouvaient me procurer. Non. Que ses doigts pouvaient me procurer. 

Je grognai faiblement quand il retira ses doigts, un filet de bave ayant commencé à couler le long de mes lèvres. Le bout du membre rentra finalement en moi et me fis frissonner de plaisir, la douleur revenant assez vite. Je grimaçais très faiblement et attendis un peu, celle - ci était beaucoup moins forte mais était toujours présente. Je serrai très lentement la main de Len dans la mienne tout en lui souriant avant de le laisser me pénétrer un peu plus. Recommençant à gémir assez vite à ses va et viens, des cris me parvenant assez vite. Atteignant le septième ciel, je poussai un cri assez aigu malgré moi en me laissant jouir, le liquide frappant malgré moi le torse. 
Une fois calmé, je n'eus même plus la force de bouger et tendis avec une grande difficulté mes bras pour avoir mon frère, les joues rouges, le souffle rapide, les larmes aux yeux. 


<< Suki OniiChan .. Suki .. Suki .. >>


Je souris d'un air amoureux avant de m'endormir aussitôt contre - lui, paisiblement, comme si rien ne m'importait désormais.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeSam 5 Avr - 20:31

<< Suki OniiChan .. Suki .. Suki .. >>


Len sourit à son frère et s'allongea près de lui en le prenant tendrement contre lui, le serrant contre lui tout en nichant sa tête dans son cou pour s'endormir en sentant son odeur. Mais avant de plonger dans les bras de Morphée, il eut un sourire amusé en se rappelant que tout cela avait commencé simplement parce qu'Aoi était heureux d'avoir grandit de quelques millimètre et se désignait comme " un grand ".

Se réveillant un long moment après, Len ouvrit doucement les yeux et eut un sourire attendrit en voyant son frère avant de se lever sans le déranger en faisant le moins de bruit possible. Il prit de quoi s'habiller et partit prendre une douche avant de rapidement revenir dans sa chambre. Se rallongeant à côté d'Aoi en le voyant toujours dormir, il le reprit doucement contre lui en le serrant dans ses bras tout en regardant sa moue endormis qu'il trouvait adorable.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeSam 5 Avr - 20:57

<< Suki OniiChan .. Suki .. Suki .. >>


Mes yeux fermés, je me laissais faire sans réagir, totalement endormi. Capable de dormir des heures durant, je grognai faiblement dans mon sommeil quand Len me quitta pour aller prendre une douche et serrai très lentement la couverture contre - moi. Il fallait qu'il se dépêche un peu non ? Je repris ma moue paisible quand il revint, me serrant inconsciemment contre - lui pour respirer son odeur légèrement camouflée à cause de l'odeur du gel douche. Il avait toujours senti bon, toujours. Jamais je ne l'avais retrouvé repoussant que ce soit niveau apparence ou odeur. Il était parfait pour moi. Le suçon a mon cou était encore visible pour nous rappeler de ce début de journée passés ensemble, mes mains sur son torse à serrer ce qu'elles pouvaient. Les poings fermés d'une manière enfantine et mon visage laissant des traits paisibles et une bouille craquante dessus. 


Au bout de quelques jours, j'allais apparemment reprendre un cours de vie "normal". Comment ça ? Oh, le professeur allait apparemment venir se présenter. Assis sur le canapé d'un air fatigué, habillé d'un pull large et d'un short, je buvais une tasse de chocolat chaud en regardant Len. Ca allait hm ? Je n'allais plus avoir de problèmes n'est - ce pas ? Je continuais d'attendre patiemment avant d'ouvrir la porte en entendant quelqu'un sonner, souriant à Len pour qu'il attende. 
Un homme, sûrement la trentaine voir la quarantaine, se présentait face à moi. Il avait des cheveux châtains, une barbe de trois jours et une apparence qui s'avouait être un peu charmante. Il n'était pas mon style, mais c'était comme dire qu'une fille était belle, il était beau en un sens sans être attirant pour moi. Je lui souris gentiment et l'invitai à entrer avant de m'asseoir tout gentiment à côté de Len. 
Il avait une carrure imposante, sans hésitation, il pouvait me battre à toutes les matières.


- Enchanté, vous êtes Len et Aoi c'est ça ? Lequel est Aoi ? 


Je levai timidement la main tout en le regardant toujours, me serrant par réflexe contre mon frère. Il me regarda un court instant dans les yeux avant de sourire faiblement pour me rassurer. Il chercha deux - trois choses dans son petit sac et me donnait deux - trois papiers.


- Tu veux bien faire ça ? J'aimerais bien savoir ton niveau avant de commencer. En attendant je vais parler à ton frère. 


Je pris timidement les feuilles avant de lever le regard pour regarder Len :


<< OniiChan .. ? >>


J'attendis son approbation, ne me rendant donc pas compte que le professeur regardait avec des yeux envieux Len. Il me sourit ensuite innocemment avant de me laisser partir dans ma chambre pour faire les évaluations. Le professeur se racla la gorge en souriant faiblement et se penchait légèrement pour lui montrer sa feuille d'information, lui demandant de signer des papiers :


- Pourquoi des cours particuliers ? Les bulletins montrent pourtant que vous vous en sortiez parfaitement. 


Il continua de lui faire remplir des papiers avant de lever son regard pour le regarder :


- Vous me paraissez bien proches vous deux sinon.
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Len Shigure

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Assis sur le canapé en ayant une jambe contre lui et une jambe dans le vide, Len lisait tranquillement un livre en ayant la tête posé sur l'épaule de son petit - frère. Quand la sonnerie retentit, il sursauta, ne s' y attendant pas bien qu'il savait que le professeur devait venir. Il laissa Aoi allait ouvrir avant de sourire pour saluer le professeur quand il arriva, mettant un marque page dans son livre avant de le poser à côté de lui. Il redressa ses lunettes par automatisme et sourire tranquillement à son frère quand il lui demanda sa permission. Il le laissa donc partir dans sa chambre, reportant son attention sur le professeur. 


- Pourquoi des cours particuliers ? Les bulletins montrent pourtant que vous vous en sortiez parfaitement.

<< Ah... C'est une longue histoire... Depuis toujours Aoi subit le harcèlement physique et moral de ses camarades. Et ça a finit par aller trop loin malgré mes interventions. Donc il est désormais scolarisé ici pour l'éviter. Pour moi, ce n'est que secondaire. Il ne voulait pas rester seul alors j'ai accepté de suivre également ce type de cours. >>

Le laissant s'occuper de ses papiers, Len le regarda calmement avant de sourire légèrement.

-
Vous me paraissez bien proches vous deux sinon.


<< Effectivement. Comme on vit seul étant donné que nos parents sont partis en voyage et que je suis le grand frère protecteur depuis toujours, ça force le rapprochement. >>

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Vous me paraissez bien proches vous deux sinon.

<< Effectivement. Comme on vit seul étant donné que nos parents sont partis en voyage et que je suis le grand frère protecteur depuis toujours, ça force le rapprochement. >> 



L'homme hocha silencieusement la tête tout en souriant, le regardant toujours remplir ses papiers. Il se mit à réfléchir avant de prendre une faible inspiration :



- Vous avez de la chance. Quand j'étais petit je n'arrêtais pas de me disputer avec mon petit frère. J'espère que le vôtre ira mieux désormais ! 


Il rigola faiblement avant de s'asseoir à côté de Len pour pouvoir mieux lui expliquer ce qu'il fallait remplir, c'était long puisqu'il devait aussi lui faire remplir des papiers pour la mairie et tout le bordel qui allait avec. Que dire hm ? Il continua de réfléchir avant de le regarder dans les yeux, relevant son visage en mettant sa main sous son menton :


- Ah. Vous savez, ce serait dommage si votre petit frère se refaisait harceler. N'est - ce pas


Il sourit d'un air innocent et le lâchai une nouvelle fois comme si de rien n'était, prenant le livre qu'il lisait auparavant pour lire le titre et se tourner vers le résumé. Il lui fit remplir une dernière feuille et attendit patiemment avant de s'approcher de lui et humer l'odeur qu'il dégageait en passant sa main dans son dos :


- C'est vrai après tout. Il y aura toujours des personnes qui profiteront de lui. Je le plains. Je peux faire quelque - chose pour si vous m'écoutez hm.
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Len continua de remplir calmement les papiers avant de, par réflexe, dégager la main du professeur en faisant un geste sec. Ça avait été instinctif, il n'avait pas put réprimer son geste. Il prit malgré tout un air méfiant et le laissa prendre son livre avant d'avoir des frissons en sentant sa main dans son dos. Se dégageant brusquement en s'éloignant, il regarda le professeur avec un air passablement méfiant et agressif.


- C'est vrai après tout. Il y aura toujours des personnes qui profiteront de lui. Je le plains. Je peux faire quelque - chose pour si vous m'écoutez hm.


<< Du genre ? >>
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C'est vrai après tout. Il y aura toujours des personnes qui profiteront de lui. Je le plains. Je peux faire quelque - chose pour si vous m'écoutez hm.

<< Du genre ? >>


Le professeur sourit calmement en le voyant se dégager aussi violemment de lui, le plaquant assez violemment au canapé. Il le prit par le menton et détourna le regard pour ne pas avoir à dire ce qu'il puvait faire. Il passa sa main glacée sur le torse de Len et descendit aussitôt sa main pour attraper le membre de Len, serrant sa prise tout en souriant d'un air sadique et innocent :


- "Ce" genre de chose peut - être ? Vous savez, ça peut être très traumatisant pour un garçon de son âge que de subir ça d'un inconnu. Enfin. Si vous voyez ce que je veux dire ..


Il soufflait dans son oreille et remontai sa main pour jouer avec ses tétons, mordillant la lobe de son oreille tout en souriant.


- Si tu oses bouger, ton pauuvre frère risque d'avoir quelques problèmes tu vois .. 


Il força un baiser, s'arrêtant finalement pour se relever tranquillement et s'étirer :


- Bon ! On part dans votre chambre ? Je vais tester vos "capacités" maintenant que tout est rempli.
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Une fois plaqué au canapé, Len sut qu'il s'était engagé sur une pente glissante et qu'il ne risquait pas de s'en dégager facilement. Il prit une moue dégoûté en sentant sa main sur son torse avant de couiner de gêne en sentant sa main agrippé son entrejambe.



- "Ce" genre de chose peut - être ? Vous savez, ça peut être très traumatisant pour un garçon de son âge que de subir ça d'un inconnu. Enfin. Si vous voyez ce que je veux dire ..


Len retint l'insulte qui lui venait, sachant parfaitement que cela risquait plus d'aggraver la situation qu'autre chose. Son corps fut parcouru de frissons de gêne et de dégoût en sentant ce " professeur " s'amusait avec son corps. Il se laissa malgré tout embrassé, se contentant d'essuyer sa bouche juste après.



- Bon ! On part dans votre chambre ? Je vais tester vos "capacités" maintenant que tout est rempli.


Len poussa un long, très long soupir et se rendit docilement dans sa chambre après avoir prit son livre. Pour une fois, il fut soulagé que sa chambre ne soit pas attenante à celle de son frère. Si leur chambre aurait était côte à côte, il se serait sans doute douté de quelque chose si ce professeur lui faisait quelque chose.
Une fois dans cette pièce, Len rangea lentement son livre sur son étagère précaire et se tourna vers le professeur avec un regard froid et agacé.
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Bon ! On part dans votre chambre ? Je vais tester vos "capacités" maintenant que tout est rempli.


Le professeur le suivit calmement et regarda calmement le jeune jusqu'à sa chambre. Il allait s'amuser avec ses élèves, il le savait déjà. Il fit une moue consternée à son regard froid et le plaquai une nouvelle fois, cette fois - ci au lit. Il l'embrassait longuement, plongeant sa langue pour caresser la sienne. Il s'arrêta pour lécher le cou du blond, relevant son haut assez vite pour s'amuser avec son corps de façon assez obscène. Il se remit à caresser son membre, commençant à le masturber tout en le regardant de ses yeux déjà vieux. 



- Parle voyons. Je me sens seul .. 


Il rigola calmement avant de s'asseoir en plaçant Len sur lui. Forçant des baisers longs et langoureux à chaque fois, il sourit calmement :


- Et puis. Le fait de savoir que son grand frère, si parfait puisse sortir avec son professeur, ça doit être vraiment choquant n'est - ce pas ? Imagines - tu sa réaction ?


Ce n'était pas comme si je sortais avec lui après tout. Ce n'était pas comme si j'étais dans ma chambre à travailler en pensant à faire plaisir après tout. Loin de là n'est - ce pas ? Si le moment était bien choisi, j'étais assez naïf pour croire le professeur et le prendre très mal. Oui. Cela pouvait arriver après tout.
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Len se laissa plaquer à son lit, n'exprimant sur son visage qu'une haine froide, dissimulant tant bien que mal sa gêne en essayant de la faire passer pour du dégoût envers le professeur. Frémissant en sentant la langue dans son cou, il ferma les yeux pour penser à autre chose attendant que ça se passe. Seulement, quand il commença à se faire masturber, il était tellement gêné que ses oreilles de chat surgirent brusquement. Il tenta tant bien que mal de les faire disparaitre, en vain.


- Parle voyons. Je me sens seul ..



<< Fuzakenjanee... >>


Se laissant manipuler comme s'il était une poupée, Len garda fermement les yeux fermé pour tenter de penser à autre chose, serrant les poings.



- Et puis. Le fait de savoir que son grand frère, si parfait puisse sortir avec son professeur, ça doit être vraiment choquant n'est - ce pas ? Imagines - tu sa réaction ?


<< J-Je... >>



Sans les maitriser, ses oreilles de chat se baissèrent en imaginant la réaction d'Aoi. Après toutes les paroles qu'il lui avait dite comme quoi il l'aimait et ne le laisserait jamais, s'il croyait le professeur, Len allait passer pour un personnage affreux et sans manière alors qu'il ne l'est certainement pas.
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Et puis. Le fait de savoir que son grand frère, si parfait puisse sortir avec son professeur, ça doit être vraiment choquant n'est - ce pas ? Imagines - tu sa réaction ?

<< J-Je... >> 


Le professeur regarda ses oreilles de chats, pas réellement surpris en un sens de découvrir ça. Il sourit d'un air satisfait en le voyant ainsi, l'embrassant encore et encore. Il masturba de plus en plus fort la verge pour le dégoûter au maximum, jusqu'à le faire jouir s'il en était capable. Il arrêta le baiser avant de baisser sa tête et lécher son torse. Il baissa un peu plus sa tête et finit par commencer une fellation au jeune garçon. L'obligeant à jouir pour pouvoir le laisser tranquille et se relever tranquillement :



- Donc tu as bien compris la leçon hm ? Mon petit chat, la prochaine fois laisse - moi m'occuper un peu plus de toi. 


Il rigola calmement et le laissa tranquille en lui balançant les feuilles de test, passant me voir pour savoir où j'en étais. Le temps passait ainsi, le professeur s'occupant de Len avant de petit à petit s'en lasser. Il lui fallait quelqu'un d'autre après tout. 
Une fois qu'il eut bien épuisé Len en le faisant jouir au possible, il partit me voir pour s'occuper un peu de moi et m'aider. Totalement proche de moi sans que je ne sois gêné, bien trop naïf pour penser qu'il puisse me faire quoi que ce soit. 
Il recommençait son manège, me racontant ainsi qu'il avait découvert notre liaison. Puis ses mains, collantes à cause de la chaleur, puant la transpiration commencèrent à profiter de mon corps sous mon regard choqué. Le chantage régnait. Il m'obligeait ainsi à lui faire toute sortes de choses jusqu'à en avaler sa semence et des fois, après m'avoir fait jouir, la mienne. Me forçant de ne pas vomir. Totalement aiileurs. Totalement sali par ses mains couvertes de semence. 
Quand il finit sa journée avec nous, il s'en alla et je m'en allais dans la salle de bain prendre une douche, le regard totalement vidé à cause de ce qui avait pu se passer. Pourquoi ? Le goût en bouche, j'avais été totalement dégoûté et avait perdu l'appétit. L'envie de vomir y était, mais je n'y arrivais pas. Je n'y arrivais définitivement pas, c'était trop tard ou bien .. ?
L'heure du dîner arriva assez vite à mon plus grand désespoir, cuisinant mon curry habituel. Un curry qui ressortait finalement sans aucun goût, totalement fade et dégoûtant. J'appelais Len pour qu'il vienne manger, épuisé.


<< Itadakimasu .. >>


Je n'osais pas le regarder dans les yeux, mais lui non plus. Il ne me parlait plus depuis quelques jours. Et ça, je ne l'avais pas compris. J'étais ailleurs, me forçant à manger pour ne pas inquiéter mon grand - frère malgré ce goût dégoûtant, à en vomir qui restait, qui me remontait petit à petit. 


<< J'ai encore réussi un test aujourd'hui OniiChan .. >>
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Len Shigure

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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeDim 6 Avr - 10:39

- Donc tu as bien compris la leçon hm ? Mon petit chat, la prochaine fois laisse - moi m'occuper un peu plus de toi.



Len rouvrit ses yeux, les laissant fixer un point dans le vide avec un air totalement perdu. Il avait toujours été en position de force par rapport aux autres puisqu'il savait se défendre et n'avait donc jamais eut de problème. Seulement, se retrouver en position de victime lui faisait se sentir vraiment mal. Il comprenait ce que son frère ressentait quand il se faisait harceler...



Les jours passant, Len parlait très peu et n'osait pas regarder son frère dans les yeux. Ce n'était peut - être pas totalement vrai, mais il avait l'impression de le tromper et de le trahir quand le professeur jouait avec lui. Il se dégoûtait lui même de ne pas être capable de se défendre et de renvoyer le professeur. Seulement, il avait trop peur qu'en l'apprenant, le professeur pouvait s'en prendre à Aoi. Et Len était tellement mal qu'il ne remarquait pas l'état de son frère.



<< Itadakimasu .. >>


<< Itadakimasu... >>



Sa voix, d'ordinaire joyeuse, calme et douce était devenue triste, terne et désespérée.



<< J'ai encore réussi un test aujourd'hui OniiChan .. >>


<< C'est bien Aoi, il faut continuer comme ça. >>



Sa voix ne laissait rien transparaitre comme sentiment, il parlait par automatisme. Les mots sortant de sa bouche sans qu'il ne les contrôle. Les yeux fixés sur son assiette où il faisait tourner la nourriture avec le bout de sa fourchette, il n'avait qu'une envie, que tout s'arrête. Mais il savait que, partit comme maintenant, cela ne s'arrêtera jamais. 
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Aoi Shigure

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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeDim 6 Avr - 11:02

<< J'ai encore réussi un test aujourd'hui OniiChan .. >>

<< C'est bien Aoi, il faut continuer comme ça. >> 


Je restai silencieux, il s'en fichait de moi n'est - ce pas ? Je me mordis la lèvre inférieure pour éviter de pleurer, finissant le repas assez vite pour ensuite me lever. J'avais envie de vomir. Je ramenai ma main à ma bouche puis regardai Len, forçant un sourire :



<< Je vais me coucher. J'suis fatigué .. >>


J'avais beau essayer de discuter avec lui pour pouvoir changer mes idées, rien ne venait. Rien. Il ne voulait plus me parler. Je m'en allais très lentement dans la salle de bain pour pouvoir me changer et fermai la porte à double tour, me mettant aussitôt à vomir tout ce que j'avais pu manger dans la journée. Partant ensuite m'endormir, de plus en plus fatigué. 


Le lendemain, encore une journée de cours, le professeur vint d'abord me voir pour "m'aider" à mes leçons. Il avait commencé beaucoup trop vite pour que je puisse m'y habituer ne serait - ce qu'un peu. Ma langue sur sa verge, forcé de tout prendre, je devais me retenir de pousser le moindre gémissement, totalement dégoûté par le fait que mon corps pouvait aimer ces caresses. J'avais la nausée. Il me forçait à toute sortes de choses, il me masturbait jusqu'à me faire jouir, il salissait mon corps qui était censé n'appartenir qu'à mon frère. Comment je pouvais réagir face à ça ? Je laissai des larmes couler en jouissant pour la énième fois, totalement épuisé et à bout. Il me rhabilla avant de me laisser. Forcé à le masturber, à faire ces choses. Puis à en avaler le liquide qui en sortait. Je n'en pouvais plus. 
Puis il allait vers Len, forçant des baisers avant de le plaquer au lit :


- Ton pauvre petit frère déprime depuis quelques - jours tu sais .. Tu veux vraiment pas que je le console ?


S'il savait après tout. S'il savait que j'avais déjà été sali. L'homme recommença à caresser Len, déposant ses suçons dans son dos. 


Puis la journée se finit, je me forçais à faire des choses avec du goût, quelque - chose de bon pour mon frère. J'étais légèrement tremblant à cause de la fatigue. J'appelai ensuite mon frère, mangeant comme à monhabitude avant de tout recracher dans la soirée.


Et cela recommença, cela durant une semaine. J'avais pâli depuis, j'étais totalement sans forces. Je tenais à peine debout. Réellement fatigué durant le repas, je n'eus même pas la force de manger que je me levai avec difficulté :


<< Je suis trop fatigué .. je vais me coucher OniiChan .. >>


Je souris faiblement pour le rassurer, partant dans ma chambre avant de me coucher sur le lit. Fermant les yeux en ne sentant plus rien autour de moi assez vite. Plus rien. J'étais comme mort au bout d'une nuit. J'avais été épuisé au possible après tout, mes vêtements n'étaient que des pulls ou des choses dans le genre pour cacher tous les suçons que l'homme avait pu me déposer.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeDim 6 Avr - 11:16

Quand le professeur vint s'amuser avec lui, Len était comme déconnecté. Il le laissa faire sans rien dire ou faire. Ne réagissant à ses paroles ou à ses caresses déplacées qu'en laissant des larmes couler ou en gardant fortement les yeux fermés pour ne rien avoir. Sentir lui suffisait amplement.


Durant la semaine, il devint muet. Ne répondant que par monosyllabe et marchant très lentement. Il passait la plupart du temps allonger sur le canapé du salon, à ne rien faire. Sa chambre porté trop de mauvais souvenir pour lui. L'homme avait souillé son corps, son esprit et même sa chambre.



<< Je suis trop fatigué .. je vais me coucher OniiChan .. >>


Par automatisme, Len hocha doucement la tête et fit la vaisselle en ayant à peine touché à son repas. Il rangea le tout et partit prendre une douche avec un air absent avant de finalement allait se coucher; préférant dormir sur le canapé du salon depuis un moment.

Le lendemain soir, Len finit par s'inquiéter en voyant Aoi dormir encore. Il alla le voir et le secoua doucement.



<< Aoi ? >>



N'ayant aucune réaction, Len finit par réellement s'inquiéter et vint continuer de secouer Aoi avant de finir par appeler les urgences en devinant qu'il y avait un problème important avec son frère.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeDim 6 Avr - 11:39

<< Je suis trop fatigué .. je vais me coucher OniiChan .. >>


Blessé d'être si .. invisible pour mon frère. Il ne s'inquiétait donc de rien ? Une journée passa où je continuais de dormir d'un air totalement vidé. Ma chambre ? Propre au premier regard, on pouvait y décerner des tâches blanches sur les murs ou sur la couverture, des tâches que je n'avais pas réussi à retirer malgré tout ce que je voulais. Ne sentant pas les secousses, j'étais presque glacial et mon souffle commençait à se faire faible. J'étais inerte, si on ne savait pas que je respirait, on aurait pu me croire mort. Les suçons ressortaient encore plus sur ma peau pâle. 

Puis un bruit strident. Les urgences étaient arrivées bien vites et, une fois dans le camion, j'étais allongé le long d'un lit avec un masque à oxygène pour pouvoir respirer. On m'avait aussi remonté une manche de mon pull pour pouvoir avoir mon pouls en permanence, laissant des suçons des plus voyants ressortir. 
Les médecins qui étaient dans le camion dévisagèrent ces marques et se parlèrent un court instant avant de se tourner vers Len qui avait du les accompagner pour qu'il puisse être "rassuré".


- Depuis quand est - il ainsi ? Ce n'est pas quelque - chose que l'on a en un jour. Vu son état, il n'a sûrement rien mangé pendant déjà pas mal de jours. 


Comment pouvait - il le savoir ? Len l'avait vu finir son assiette à chaque fois, Aoi faisait toujours son possible pour ne pas inquiéter celui - ci mais il finissait toujours pas tout rejeter. Rejeter jusqu'à en vomir du sang des fois. Mon corps avait été sali par ces mains impures, couvertes de sueurs, collantes. Elles me caressaient de façon obscènes. Les jours où Len n'était pas dans les environs, il me faisait crier de douleurs. Des traces de morsures à certains endroits par exemple. Une fois à l'hôpital avec des tuyaux pour m'aider à respirer plus facilement et des perfusions à mes bras, torse nu pour avoir toute sortes de choses dessus et ainsi avoir toutes les informations, je n'allais me réveiller qu'au bout d'un long moment.


- Vous voulez dormir ici ? Il nous faut une journée pour savoir ce qu'il a exactement mais ce n'est pas joyeux. Je vous le dit d'avance. 


Le médecin poussa un faible soupir avant de demander mon identité. Il haussa un sourcil avant de regarder Len :


- Il est déjà venu ici non ? 


Il regarda les informations avant de faire une légère grimace, il n'aimait pas annoncer ces nouvelles là après tout :


- Vu l'état de son corps, il a été abusé "sexuellement" et la seule chose qu'il a ingéré c'est .. 


Il se racla la gorge, lui faisant comprendre par sous entendu ce que j'avais pu prendre. Il offrit un verre d'eau à Len, sachant que cela devait être dur à avaler. Apprendre ça aussi vite après tout.


- Il se réveillera dans le mois. Ne vous inquiétez pas pour cela. 
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeDim 6 Avr - 11:53

- Depuis quand est - il ainsi ? Ce n'est pas quelque - chose que l'on a en un jour. Vu son état, il n'a sûrement rien mangé pendant déjà pas mal de jours.



<< Je... Je ne sais pas... Je l'ai toujours vu finir son assiette. Il a du tout régurgiter quand je ne faisais pas attention... >> 


Len porta son attention sur Aoi, ayant l'impression de ne pas l'avoir vu depuis pas mal de jour. Quand il vit les marques sur son bras, son regard se vida rapidement, devenant d'un bleu totalement terne et sans intérêt. Lui aussi avait été sali. Et il n'avait rien vu. Trop préoccupé par sa petite personne au lieu de faire attention à son frère qui allait de plus en plus mal. Si seulement il avait fait attention. Si seulement il n'avait pas été si égoïste...

Une fois dans la chambre de son frère, Len se mit sur un fauteuil en le positionnant à côté du lit d'Aoi. Ramenant ses jambes contre lui, il passa ses bras autour et regarda Aoi. Se sentant coupable.


- Vous voulez dormir ici ? Il nous faut une journée pour savoir ce qu'il a exactement mais ce n'est pas joyeux. Je vous le dit d'avance.



Réagissant à peine, Len hocha simplement la tête en donnant le nom d'Aoi pour ensuite hocher la tête une seconde fois à sa question.



- Vu l'état de son corps, il a été abusé "sexuellement" et la seule chose qu'il a ingéré c'est .. 

Cela, Len l'avait compris en voyant les marques sur le corps d'Aoi. Mais une fois confirmé par un médecin, c'était encore plus dur à accepter. Len refoula donc tant bien que mal les larmes qui lui venait en acceptant volontiers un verre d'eau qu'il but très lentement. 

- Il se réveillera dans le mois. Ne vous inquiétez pas pour cela.



<< ... Merci. >>



Une fois seul, Len laissa ses larmes couler en se balançant faiblement de bas en haut. Il avait été idiot. Son frère avait le droit de le haïr. Il avait été incapable de comprendre ce qu'il avait. Il n'était qu'un sombre idiot.
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeDim 6 Avr - 12:13

Il se réveillera dans le mois. Ne vous inquiétez pas pour cela. 

<< ... Merci. >> 


Une semaine passa, puis deux où je reprenais petit à petit des couleurs. Essayant d'ouvrir les yeux malgré la lumière, j'avais les yeux totalement éteints, vidés de tout. Je bougeai très faiblement, perdant toute énergie. Où est - ce que j'étais ? Je regardai le plafond de couleur blanche puis le déposai sur les murs d'un air fatigué. Un docteur vint me voir et sourit faiblement en me voyant réveillé, je le regardai avec difficulté, respirant toujours avec les tuyaux. Len .. J'avais besoin de Len ... Il n'était pas là pourtant ... Je n'avais pas de voix non plus. J'étais encore faible mais avais juste eu la force de me réveiller. Le médecin m'aida à m'asseoir un peu sur le lit de façon très lente pour ne pas me brusquer, me parlant assez vite. Je ne comprenais pas trop ce qu'il pouvait me dire. 
Il finit par soupirer faiblement et me sourit une nouvelle fois avant de partir prévenir mon grand - frère. Entre - temps, je m'endormis en déposant ma tête sur mon épaule, encore bien pâle sur le moment. 
On me réveilla assez vite et on me donna un petit plateau de nourriture. Je le regardai d'un air toujours vide, me faisant nourrir par une dame qui était .. assez patiente il fallait l'avouer. Malheureusement, après une bouchée, je me mis à vomir tout ce que j'avais dans l'estomac. Je toussais assez violemment sous le regard paniqué des médecins qui m'injectèrent des choses dans mon corps. Je toussai très faiblement puis fus un peu plus calmé, ayant énormément minci depuis. Je voulais Len. J'avais besoin de Len plus que tout au monde. Même s'il ne s'était rendu compte de rien. Je m'en fichais de ça. Je le voulais, juste lui. Attendant qu'il vienne en refusant de manger, je n'avais pas envie de manger. Réellement. Le voyant enfin arriver au bout d'un moment, je sentis les larmes me monter et tendis avec difficulté mes bras pour qu'il vienne. Mais je n'avais même pas la force de tendre les bras. On ne voulait pas que je bouge pour m'épuiser encore plus. Len .. Len .. 


- S'il - te - plaît .. si tu bouges ça va empirer ton état.


Ne parlant toujours pas, je me contentais de verser des larmes et forçai un sourire face à Len. Je ne voulais pas l'inquiéter. Je voulais juste qu'il sourit, qu'il soit comme avant. Toujours à être avec moi et à m'embrasser, à me prendre dans ses bras. Je l'aimais après tout, je ne pouvais pas lui en vouloir de s'être rendu compte de rien. 


- On vous laisse seul, si vous avez besoin d'aide nous sommes juste à côté d'accord ? 
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MessageSujet: Re: En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len]   En ce jour de Saint Valentin, les cris d'agonie s'échappent des maisons. [PV Len] - Page 7 Icon_minitimeDim 6 Avr - 12:19

Len passait ses journées dans la chambre d'Aoi, ne sortant que pour aller chercher à manger ou rentrer prendre une douche et dormir. Il ne faisait rien d'autre que de venir voir son frère.

Quand il fut au courant, de son réveil, il se dépêcha de revenir dans sa chambre. En voyant son état si faible, il détourna le regard en se sentant coupable avant de hocher doucement la tête quand les médecins les laissèrent seuls. Len s'approcha donc d'Aoi et vint s'asseoir sur le bord du lit avant de le serrer dans ses bras sans pouvoir s'en empêcher, le berçant légèrement.

<< Je suis désolé... >>


Laissant des larmes coulaient, Len continua de serrer Aoi contre lui, nichant sa tête dans ses cheveux.


<< Je suis désolé Aoi... J'aurais du remarquer que... Toi aussi, il... Je suis désolé... Pardonne moi petit frère... Je suis qu'un idiot... >> 
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<< Je suis désolé... >> 


Je restai silencieux puis me serrai avec difficulté contre - lui, tremblant à cause de la fatigue. Je fermai les yeux tout en pleurant, nichant avec difficulté ma tête dans son cou tout en me laissant bercer. Je n'avais pas réellement la force de parler. Je ne voulais pas qu'il pleure. Je ne voulais pas.



<< Je suis désolé Aoi... J'aurais du remarquer que... Toi aussi, il... Je suis désolé... Pardonne moi petit frère... Je suis qu'un idiot... >> 



Lui aussi .. je restai silencieux et secouai faiblement la tête pour dire que ce n'était pas grave. Je restai silencieux en essayant de me calmer avant d'éclater en sanglots, n'en pouvant plus. Je me sentais sali, moi qui ne voulait m'abandonner qu'à lui, moi qui voulait tout lui donner, j'avais été entièrement sali. J'avais tout perdu. Je continuai de pleurer et toussai assez violemment, commençant à m'étouffer. 

Je repris avec difficulté de l'air grâce aux tuyaux qui étaient toujours là. Je me laissai lentement glisser pour laisser ma tête contre son torse, voulant respirer son odeur. Je voulais tant le sentir mais ces tuyaux m'en empêchaient. Je ne pouvais même pas me rassurer de son odeur. 
Encore froid, je profitais de sa chaleur et relevai la tête pour le regarder, voulant tellement qu'il m'embrasse, qu'on rentre ensemble. Je le voulais tant. Je voulais juste oublier tout ce qui avait pu se passer dans ma chambre. Tout. Je passai très lentement ma main dans ses cheveux et me nichai un peu mieux contre - lui, mon rythme cardiaque toujours aussi lent. 


<< L - Len .. >>


Je le regardai un peu mieux et passai ensuite ma main sur son torse, le regardant pour essayer de vérifier son état malgré ma fatigue :


<< T - Tu as mangé ? S - Si tu veux .. j - je peux te faire du c - curry ... >>


J'essuyais avec difficulté mes larmes, ne voulant réellement pas l'inquiéter. Je voulais qu'il aille bien. Que rien ne lui arrive à lui. Je me relevai en ignorant la douleur et la fatigue, effleurant ses lèvres pour ensuite l'embrasser de façon tendre mais faible. J'entourais mes bras autour de sa taille pour serrer son haut, m'arrêtant à cause des fils qui m'empêchaient de reprendre de l'air correctement.


<< On rentre quand .. ? >>
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<< L - Len .. >>


Len releva sa tête des cheveux de son frère et s'essuya tant bien que mal les yeux pour essayer d'arrêter de pleurer. C'était l'ainé, il ne pouvait pas se montrer ainsi.



<< T - Tu as mangé ? S - Si tu veux .. j - je peux te faire du c - curry ... >>


<< Ne fais pas attention, c'est ton état qui est important... Pas le mien. Il faut que tu te repose... >> 


Prolongeant faiblement le baiser, Len sourit tant bien que mal à Aoi avant de hausser un peu les épaules à sa question. Il n'en savait rien.



<< On rentre quand .. ? >>


<< Quand tu iras mieux. Je ne sais pas précisément. >>
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<< On rentre quand .. ? >>

<< Quand tu iras mieux. Je ne sais pas précisément. >>


J'hochais très faiblement la tête, restant dans les bras. Je ne voulais pas qu'il parte. Jamais je ne l'accepterais après tout. Je fermais les yeux et commençai à m'endormir dans ses bras comme un petit bébé. J'avais eu peur qu'il m'abandonne après tout. Qu'il sache parfaitement ce qui se passait mais faisait comme si de rien n'était. Il fallait que je fasse quelque - chose après tout. Je ne voulais pas qu'il encore plus mal que ça. Je fermais les yeux en réfléchissant longuement. Du curry, je devais lui faire du curry, je voulais tout faire pour qu'il soit mieux. Oui. Tout. Si c'était donner mon corps comme j'avais été obligé de le faire avec le professeur, je le ferais sans hésiter. Je pouvais le laisser me salir, je pouvais réellement tout faire pour lui. 



<< Len .. >>


Je le regardai puis tirai faiblement sa joue pour qu'il sourit. Je voulais juste qu'il sourit. 


<< Tu voudras quoi à manger .. ? Si tu v - .. >>


Je toussai violemment, me stoppant en plein milieu de ma phrase. En une semaine, cet homme m'avait rendu presque mourant. Moi qui avait cru mourir. Et .. pourquoi nos parents n'étaient toujours pas là ? Avait - il prévenu ? Je regardai Len une nouvelle fois d'un air inquiet, me collant à lui :


<< Papa et Maman sont au courant ? >>
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<< Len .. >>

Se laissant tirer la joue, Len esquissa un faible sourire en regardant son frère en essayant de reprendre sa moue habituelle pour qu'il aille mieux et qu'il cesse de s'inquiéter pour lui.

<<
Tu voudras quoi à manger .. ? Si tu v - .. >>

Len prit une moue inquiète et frotta le dos d'Aoi pour essayer d'un tant soit peu l'aider avant de secouer doucement la tête à sa question.

<< Papa et Maman sont au courant ? >>

<< Ils savent que tu es malade et à l'hôpital, je les ai appelé le lendemain de ton admission sans leur expliquer le pourquoi du comment. Je voulais te demander d'abord si tu voulais que je leur explique ou si toi tu voulais leur dire... Ils vont sûrement arriver demain ou après demain, il ne pouvait pas rentrer avant. >>
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<< Papa et Maman sont au courant ? >>

<< Ils savent que tu es malade et à l'hôpital, je les ai appelé le lendemain de ton admission sans leur expliquer le pourquoi du comment. Je voulais te demander d'abord si tu voulais que je leur explique ou si toi tu voulais leur dire... Ils vont sûrement arriver demain ou après demain, il ne pouvait pas rentrer avant. >> 



J'hochais faiblement la tête, me demandant si j'allais le leurs dire. Sûrement. Je n'allais pas trop expliquer mais je préférais expliquer moi - même. Je déposai de faibles baisers sur ses lèvres, voulant tant sentir son odeur. Je fermai les yeux et l'embrassai un peu plus, y plongeant ma langue pour caresser la sienne tant bien que mal. Je voulais profiter de ce moment là après tout. Je me collai un peu plus à lui tout en l'embrassant avant de m'arrêter assez vite. Je ne pouvais vraiment pas embrasser longtemps après tout. Je repris avec difficulté ma respiration, mon coeur cognant contre ma poitrine, laissant la machine faire des "bip" beaucoup plus rapidement qu'avant. C'était pire que gênant d'entendre son coeur battre ainsi, je fis la moue en baissant la tête, rouge de gêne en écoutant ces bruits. L'envie que ça se stoppe était vraiment forte. Mais c'était le contraire puisque ça ne faisait que d'accélérer. Torse nu face à lui avec toutes sortes de choses collées à mon torse, je l'embrassai une nouvelle fois en ignorant les environs avant de m'arrêter, réellement fatigué. Je fermais lentement les yeux en commençant à m'endormir :



<< Et .. le professeur .. ? >>


Qu'est - ce qu'il faisait désormais ? Je me posais bien la question. Moi qui m'en fichais en réalité de mes cours, je voulais travailler dans la cuisine après tout. C'était mon rêve mais je savais que mes parents ne le voulaient pas. Il se disaient que j'étais beaucoup trop sensible pour supporter le stress permanent. Ils préféraient plus le droit ou quelque - chose comme ça. Je me demandais des fois en quoi mon grand frère voulait travailler. Je finis par me laisser retomber contre le torse du blond, m'endormant un peu plus :

<< Je veux pas être seul .. OniiChan .. >>
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